Une panne vite oubliée
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Poesexe, Source: Hds
... plus. Malgré la climatisation, elle est en nage, a la fin de la première série. Le vieux s’en est rendu compte.
« Je vous donne chaud » constate t’il
« eh oui, Mr Mahut, allez on s’y remet. »
A la fin de la deuxième série, elle s’essuie le visa ge avec une serviette.
« Vous devriez vous mettre à l’aise. »dit il en lorgnant sur son décolleté, qui, dans les mouvements, s’est encore ouvert d’un bouton.
« Ce ne serait pas très correct, Mr Mahut, vous savez, avec cette chaleur je n’ai mis que ma blouse. »
« L’exercice n’en serait que plus agréable chère madame, et ça ne sortirait pas d’ici. »
« Vous êtes un coquin, vous ! » dit elle en riant
« Allez ! qu’est-ce que vous risquez avec un vieux bonze comme moi, à part me faire un petit plaisir. »
Il passe maintenant la main sur sa blouse, caressant sa hanche proche.
« je ne peux pas. Je n’ai vraiment rien en dessous. »
« Laissez moi faire »ditil avec aplomb. Il saisit le bas de la blouse et tire. Lautrec ôté est coincé contre la table et les boutons pression cèdent un a un, dévoilant le haut de ses cuisses et ouvrant la blouse jusqu’à la taille. Le papy a les yeux exhorbités devant la chatte de Marie-José à hauteur de ses yeux. Elle recule génée, mais la blouse serrée dans la main du vieux, finit de s’ouvrir, et elle apparaît entièrement nue.
« Ne soyez pas génée. Vous êtes une belle femme. Une comme je n’en ai pas vu depuis bien longtemps » lui déclare t’il.
Marie-José se ressaisit et rabat les ...
... pans de sa blouse sur ses seins. Elle se rapproche du bonhomme.
« Allez, dernière série » dit elle en empoignant sa jambe. Elle s’emploie a pratiquer les mouvements le plus naturellement possible, mais ne peut ignorer la main du vieux qui s’égare sous la blouse sur sa fesse et rampe vers son intimité. Heureusement la série s’achève et elle se recule, échappant à la main balladeuse. Le vieillard repose sa jambe, mais, maintenant, allongé sur le dos, son pantalon de toile est distendu d’une manière peu équivoque.
« Oh ! monsieur Mahut ! »
« Eh, que voulez vous, ça fait si longtemps que ça ne m’est pas arrivé que j’en suis presque étonné, mais c’est un hommage à votre beauté. »
Il lui prend la main et la pose sur son pantalon
« malheureusement, je me vois mal traverser votre salle d’attente dans cet état. »
Sans mot dire, elle déboucle la ceinture du pantalon, et baisse la fermeture éclair. Elle baisse le slip et libère un sexe qui jaillit devant elle.
« Oh, qu’elle est grosse ! » dit elle en l’empoignant
« La nature m’a bien servi, c’est vrai, et j’en ai profité, mais je pensais ce temps révolu » dit il tandis qu’elle commence à masturber son chibre, pas spécialement long, mais particulièrement épais.
Le membre déjà bien raide prend encore de la consistance.
« Ah docteur, ça me fait vraiment du bien. »
Marie-José ne dit mot, mais elle accélère le rythme, une main astiquant le membre érigé, et l’autre titillant les bourses velues de son patient. ...