1. Une panne vite oubliée


    Datte: 24/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Poesexe, Source: Hds

    Cette histoire s’est passé il y a quelques années. J’étais sorti en boite de nuit,, Avec un copain, espérant en sortant, aller faire des photos de lever du soleil sur la Méditerranée. Malheureusement, la soirée ne s’était pas passé comme prévu, et vers 4 :00 du matin, fatigués, nous avions décidé de rentrer. Le sort s’acharne sur nous puisque À la sortie d’Argelès, ma voiture s’arrête subitement. J’essaie de redémarrer, je me rends compte rapidement que je suis en panne d’essence. Tandis que mon passager maudit mon imprévoyance, je pars à pied vers une station service que j’ai aperçue un peu plus haut. La station est évidemment fermée et il est donc impossible de se ravitailler. Je décide donc de retourner à ma voiture. Alors que je marche le long de la route, la porte d’une maison s’ouvre, et, après quelques effusions joyeuses, une silhouette féminine se dirige vers une Renault cinq garée À quelques mètres. Je tâte le pas et rejoint la jeune femme avant qu’elle s’engouffre dans sa voiture.
    
    -«excusez-moi mademoiselle, Je suis en panne d’essence un peu plus haut. Est-ce que vous n’auriez pas un bidon d’essence, ou peut-être vos amis que vous venez de quitter ?»
    
    -«non je suis désolée, mais nous allons demander à mes amis si il pourraient vous dépanner.» Après avoir frappé À la porte de la maison et consulté ses amis, je ne suis pas plus avancé. Je m’apprête À regagner ma voiture ou mon ami Lucas m’attend quand la jeune femme m’interpelle. -«si vous allez vers le Boulou, ...
    ... je peux peut-être vous déposer.»
    
    -«c’est gentil mais ma voiture resterait là.» -«de toute façon Elle va rester là. Vous pourrez toujours revenir la chercher avec un bidon d’essence demain.» J’embarque donc À ses côtés, et après une halte pour récupérer Lucas, nous voilà partis. J’explique À la jeune femme que nous allons un peu plus loin que le Boulou. Elle n’aura qu’à nous laisser à la sortie du village et nous finirons en stop. Avec un bref rire, Elle nous signale que, vu l’heure, nous auront du mal à trouver une voiture. Le silence retombe dans l’habitacle. J’observe ma voisine, juste éclairée par la lueur du tableau de bord. En fait, c’est loin d’être une jeune fille. L’obscurité peut être trompeuse mais quelques fines rides au coin des yeux, et les traits affirmés de son visage Me font penser qu’elle doit avoir dans les 35 ans. Sur qu’elle doit nous prendre pour de jeunes écervelés, Avec nos 22 ans. Elle a des cheveux blonds bouclés mi-longs, qui cascadent sur ses épaules dénudées par une robe moulante qui s’arrête juste au-dessus des seins. Elle a remonté légèrement le tissu, pour donner de l’aisance À ses jambes, dévoilant des cuisses fermes, au-dessus de mollets galbés et de chevilles affinées si besoin était, par des escarpins À très hauts talons. Alors que nous arrivons à sa destination, Elle traverse le village de sans s’arrêter. -«allez ! Je vais vous amener jusqu’à CERET. Vous avez de la chance, c’est mon jour de bonté.» Soulagés de se éviter la corvée du stop, ...
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