1. Une panne vite oubliée


    Datte: 24/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... s’estomper. Elle apprécie le traitement et sa vulve s’est ouverte, laissant voir les chairs roses, tendres et humides de son sexe.Marie-José, continue sans s’en apercevoir, mais la jeune femme, ouvre de plus en plus largement les cuisses, et pousse de petits soupirs d’aise.
    
    Marie-José termine son massage, en cercles sur l’intérieur, puis l’ectérieur de la cuisse qu’elle referme au passage.
    
    « C’est terminé, je vous laisse vous rhabiller » dit elle en rejoignant son bureau. La jeune femme se lève et récupère son string qu’elle enfile sur son sexe encore ouvert, qui se tâche aussitôt d’humidité. Puis elle remet sa jupe rejoint Marie-José qui lui remet une ordonnance, avant de la raccompagner. Elle revient seule et arrive directement dans le réduit :
    
    « tu peux me dire ce que tu fais là ? »
    
    « Rien, je voulais juste comprendre ce que tu faisais. »
    
    « Et te rincer l’œil au passage ? »
    
    « Ce n’était pas le but, mais je dois reconnaître que ta dernière patiente avait l’air passablement excitée. Je ne sais pas comment tu peux ne pas le voir. »
    
    « Tu te fais des idées, ce ne sont que des réactions physiologiques. Rien a voir avec la libido. »
    
    « n’empèche, si tu lui avais caressé le minou, elle n’aurait demandé que ça. »
    
    « Ou elle m’aurait retourné une paire de baffes. »
    
    « Il n’y a qu’un moyen de le savoir, sois plus sexy »
    
    « plus sexy ? mais je travaille ! »
    
    « La plupart des hommes, et surement des femmes, fantasment sur les infirmières, ou autres ...
    ... médecins vétus d’une blouse blanche. Il serait étonnant que ce soit différent pour toi. »
    
    « Et ? »
    
    « Le seul moyen de le savoir, est de te rendre plus sexy » dis-je, en dégraffant deux boutons en bas de sa blouse et un en haut. Celle-ci s’ouvrait sur un décolleté avantageux, et dévoilait ses cuisses presque jusqu’en haut, au moindre mouvement.
    
    « Je reste à côté » dis-je « et je regarde ce qui se passe »
    
    « Tu ne vas pas voir grand chose », maintenant j’ai un papy de 76 ans. »
    
    Le papy, comme elle dit, une fois assis dans le bureau, ne lâche pas des yeux son décolleté.
    
    « Monsieur Mahut, comment va votre hanche ? »
    
    « Ma foi, c’est douloureux à froid, mais une fois que j’ai marché un peu, ça s’estompe »
    
    « bien » dit elle « nous allons passer à côté pour voir ça. »
    
    « il faut que je me déshabille ? »
    
    « non, ça ne devrait pas être utile. »
    
    Une fois le patient sur la table d’examen, Marie José lui fait plier un genou, puis elle prend sa jambe et la replie vers le haut à plusieurs reprises.
    
    « Je ne vous fais pas mal ? »
    
    « ça tire un peu » répond le bonhomme, « mais c’est supportable »
    
    « C’est normal, après votre opération, il va falloir un peu de temps pour retrouver de la souplesse. On va faire l’exercice une dizaine de fois, et on recommencera trois fois, d’accord ? »
    
    La question est purement réthorique et n’entraine pas de réponse.
    
    Marie José accompagne les mouvements du patient, en forçant un peu en bout de course pour le faire plier un peu ...
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