Une panne vite oubliée
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Poesexe, Source: Hds
... Celui-ci grogne, et eructe, ses mains malaxant les fesses de la kiné qui s’est rapprochée de lui dans son mouvement. Sa main est encore leste et il la glisse dans le sillon fessier, atteignant l’entrée du vagin déjà dégagé, et y enfonce aussitôt deux doigts, faisant sursauter la jeune femme. La première surprise passée, elle s’ouvre un peu plus et un troisième doigt s’introduit en elle, tandis qu’un pouce téméraire flirte avec sa rondelle. Elle sent le sexe palpiter sous ses doigts. La libération est proche. Elle crache sur le gland turgescent en continuant son va et vient. Le pouce accentue sa pression et franchit d’un coup le sphincter, s’enfonçant profondément dans son anus, lui arrachant un soupir de douleur, alors que dans un spasme le papy arrose Marie-José de sa semence. Elle continue à le caresser jusqu’à extirper la dernière goutte de son jus. Le vieux a retiré sa main. Elle s’essuie, et lui fait une toilette sommaire avec une serviette éponge. Puis elle rajuste sa blouse et le laisse se rhabiller.
« C’est tout pour aujourd’hui Mr Mahut »
« merci beaucoup, madame. »
« Ceci doit rester entre nous, monsieur. Si on vient m’en parler je nierais. Et n’espérez pas que cette faveur devienne une habitude. »
« Oh non, dit le vieux. Vous avez enchanté mon âme et mon corps, pour une longue période. Je vous en serais reconnaissant, à jamais. »
Elle raccompagne le papy et revient seule. Je l’attends dans la salle d’examen.
« Il s’en passe de belles dans ton ...
... cabinet. »
« C’est ta faute, de me laisser nue sous ma blouse. » répond elle
« J’avoue, c’est un peu vrai, mais tu as laissé faire… »
« pas du tout » rétorque t’elle « si je l’avais laissé faire il m’aurait culbutée sur place, au risque de mourir d’une crise cardiaque. La situation était sous contrôle. »
« Et tu es restée insensible ? » dis-je en la serrant de près et en caressant ses seins qui pointent déjà.
« Il m’a bien chauffée un peu, je l’avoue. Dommage que j’ai un autre patient, sinon je t’aurais bien demandé de m’aider. » dit elle avant de repartir.
Les deux patients suivants ne remarquent quasiment pas la tenue de Marie-José, et je commence à m’ennuyer ferme. Puis arrive une femme qui vient pour une tendinite. Marie-josé l’accompagne dans une des pièces adjacentes et l’installe sur une machine qui doit lui prodiguer des soins par ondes de choc. Puis elle revient s’installer à son bureau. J’en profite pour venir derrière elle.
« Elle en a pour longtemps ? » dis-je innocemment
« 30 minutes » me répond elle.
« On a donc un peu de temps » et je glisse mes mains dans son décolleté, saisissant ses seins.
« Arrête, ma patiente est à côté » proteste Marie-José
« Mais elle est occupée pour un moment. » répond-je
« Elle pourrait nous entendre » murmure t’elle, mais les pointes de ses seins durcissent déjà sous mes doigt. Je l’embrasse doucement dans le cou et fais sauter les boutons pression de sa blouse, au fur et à mesure de mon exploration ...