1. Une panne vite oubliée


    Datte: 24/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... Nous la remercions joyeusement. Un quart d’heure après Elle nous dépose sur la place du village, et, tandis que je la remercie encore, Elle me dit : «si vous voulez, demain matin, Je visite des patients ici, puis, je repars en visite sur Argelès. A condition que vous soyez prêts en début d’après-midi, je pourrais vous amener récupérer votre véhicule.» Je souscris à l’idée est rendez-vous est pris pour le lendemain. Le lendemain, je refais le trajet inverse, De jour, et nous papotons assez longuement. J’apprends qu’elle est kiné, il se déplace beaucoup pour aider les patients âgés. J’insiste pour la remercier en l’invitant prochainement À dîner. Elle refuse mais Me dit qu’elle me trouve sympathique, et m’invite À passer boire un thé ou un café un prochain jour, en me donnant sa carte de visite :
    
    Marie-Josée Vermer, Kinésithérapeute
    
    Quelques jours plus tard, je l’appelle, mais j’apprends qu’elle se trouve à Argelès pour des visites. Comme j’y serais en fin d’après-midi, je lui propose de nous retrouver.
    
    Je suis installé à la terrasse d’un café, depuis une demi-heure, quand elle arrive enfin. Dans le soleil de fin d’après-midi, je la détaille tandis qu’elle s’approche. La lumière dans dans ses cheveux blonds qui encadrent son visage légèrement hâlé. Son chemisier bariolé tranche avec le jean blanc, et des nu-pieds assortis. Ses cuisses sont pleines et ses hanches larges de femme épanouie n’empèchent pas la silhouette élancée car elle est assez grande. Elle s’assoit ...
    ... face à moi en s’excusant pour son retard, mais je l’assure que je viens d’arriver. Quand elle s’incline pour lire la carte , son décolleté me laisse entrevoir des seins voluptueux, bien gardés dans un soutien gorge rouge en dentelle. Elle me raconte sa journée, ses patients. Elle aime l’été et le soleil, mais pas la circulation compliquée par l’afflux de touristes. Je l’écoute distraitement, captivé par ses yeux verts. On m’aurait dit, il y a peu que je craquerais pour une femme de 15 ans mon ainée (elle m’a avoué en avoir 37) je n’y aurais pas cru ; et pourtant face à moi, cette jolie femme, plantureuse, m’attire, alors qu’elle doit me prendre pour un gamin. Tant pis, je tends la main et attrape la sienne. Elle a un léger mouvement de recul, mais finit par m’abandonner sa menotte que je serre tendrement.
    
    -« Mais qu’est-ce que vous faites ? » murmure t’elle.
    
    -« Je vous prends la main, pour vous faire sentir que vous me plaisez » réponds je en caressant sa main et en remontant sur son bras.
    
    -« Enfin Steve, c’est génant, on peut nous voir. »
    
    -« Quelle importance ? Les gens penseront que je vous aime. »
    
    -« Comment pouvez vous dire ça ? Et qui vous dit que je ne suis pas mariée. »
    
    -« Rien, sauf vos derniers mots. »
    
    -« Je suis avec quelqu’un. » dit elle
    
    -« ce n’est pas grave, je m’en accommoderais. » reponds-je
    
    Ma main a quitté la sienne pour se poser sur son genou, sans, cette fois la faire sursauter.
    
    -« Que voulez vous, enfin ? » ose t’elle
    
    -« Vous, ...
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