Une panne vite oubliée
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Poesexe, Source: Hds
... » demande t’elle, assise face à la patiente.
« J’ai eu une douleur à la cuisse, en jouant au tennis. Comme ça persiste, mon médecin m’a conseillé de venir vous voir. »
« Voyons ça. Vous pouvez passer à côté, s’il vous plait. Et vous deshabiller. Juste la jupe et les chaussures, et vous vous allongez sur la table. »
Replié dans le cagibi, je ne peux rien rater. La patiente, entre dans la pièce, et défait ses nu-pieds, avant d’enlever sa jupe qu’elle pose soigneusement sur le dossier d’une chaise. Elle est vétue d’un petit haut à bretelles blanc, et d’un string noir. Elle s’allonge sur le lit, les jambes face à moi . Marie-José arrive , et lui demande :
« Quelle jambe vous fait souffrir »
« La droite »
Elle commence à palper la jambe, du haut en bas, massant les muscles, testant les articulations. Elle est sur le cheville qu’elle manipule avec dextérité, sans créer de douleur, puis elle remonte le long du mollet jusqu’au genou qui ne semble pas davantage poser de soucis. Elle passe ensuite sur la cuisse, provoquant une crispation de la patiente. Elle insiste sur l’extérieur, sans résultat, mais quand elle masse l’intérieur de la cuisse, la douleur semble être bien présente.
« On va tester autre chose. Ecartez les cuisses. »
La femme s’exécute et écarte largement les cuisses.
« Je vais appuyer sur vos genoux, et vous allez essayer de refermer les jambes. Allez y ! »
La jambe gauche n’a aucun mal à repousser le bras et à contrer la poussée, mais ...
... la droite s’arrète avec un cri de douleur de la patiente. »
« Vous avez une contracture de l’aducteur droit » explique Marie-José « Il n’y a pas grand chose a faire, sinon du repos, et des massages avec une pommade apaisante. Je peux vous en faire un maintenant, et vous reviendrez tous les trois jours, pendant trois semaines. »
La patiente ayant accepté, Marie-José, entre dans la remise ou je suis caché, et me découvre.
Les yeux écarquillés, elle articule en silence : » que fais tu là ? » ce à quoi, je ne réponds pas.
Elle récupère la pommade et me jette un regard courroucé avant de sortir, me faisant signe de faire silence.
« Voilà, il faudra que vous récupériez cette pommade, en pharmacie. Vous allez voir, le massage va chauffer vos muscles et les rendre moins douloureux. Pour éviter de tacher vos sous-vêtements, il faudrait les écarter sur le côté, ou les enlever. »
La jeune femme soulève ses hanches et fait glisser son string qu’elle envoie rejoindre sa jupe. Marie-José la positionne, sur le dos, la jambe droite légèrement écartée. Dans l’entrebaillement de la porte, j’ai la vision de son minou bien épilé sous un ticket de métro parfaitement taillé. Le massage commence et les mains de Marie José, malaxent l’intérieur de la cuisse, jusqu’à l’attache des muscles. Je vois les tendons se tendre et la fente qui s’ouvre légèrement quand les mains redescendent. Le massage se prolonge de longues minutes, et la douleur qui faisait se raidir la patiente semble ...