Une panne vite oubliée
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Poesexe, Source: Hds
... qui font l’essentiel de notre repas. Après un café bien serré, Marie-José monte à l’étage, pendant que Gwen et moi débarrassons et faisons la vaisselle. Aussitôt le dernier verre essuyé, cette dernière repart vers son occupation favorite : la sieste.
Je reste un peu dans la relative fraicheur de la maison. Marie-José descend bientôt, vétue d’une blouse blanche, très médicale, et très opaque.
« Bouh, avec cette chaleur on ne sait pas trop comment se vétir.Je n’ai même pas mis de robe sous ma blouse. »
Je m’approche d’elle et l’attrappe par la taille, pour l’embrasser. Mes mains fureteuses, dégraffent deux boutons pression et découvrent sa poitrine, dans un soutien gorge blanc.
« Effecivement, tu ne vas pas avoir trop chaud. »
« Oh, ne crois pas ça » répond elle. « Quand tu es entrain de masser, ou faire travailler des gens, ça fait transpirer, même en hiver. »
Je tire d’un coup sec et la blouse s’ouvre entièrement.
« Alors tu es encore trop habillée » lui dis-je « laisse moi rectifier ça. »
Je passe la main dans son dos et dégraffe le soutien. Elle comprend et dégage le vêtement .
« Tu as raison, je peux m’en passer » approuve t’elle.
Mais quand je descends la culotte assortie, elle proteste.
« Non ! il suffit que je me baisse pour qu’on voie tout ! Ma blouse est trop courte. »
Néanmoins, j’arrive à faire glisser le vêtement à ses pieds, puis je reboutonne la blouse, laissant juste un bouton en bas, et deux en haut dégraffés.
« Voilà, on ...
... ne voit plus rien !, et tu vas gagner en confort. »
Finalement elle lève les pieds et dégage le string que je ramasse.
« Bon, allez, j’ai du boulot » dit elle en franchissant le porte de communication avec son cabinet.
Je la laisse aller, mais la curiosité me poussant, quelques instants plus tard, j’ouvre la porte de son cabinet. Un rapide coup d’œil. Je suis dans une petite pièce qui sert d’entreposage pour toutes les crèmes, les straps et autre atèlles, dont elle doit se servir. Une seule autre porte. Je l’entrouvre doucement, pour découvrir une salle d’examen, avec un traditionnel lit, et quelques meubles de rangement. Personne dans cette salle. Je m’y aventure. Elle communique avec un bureau, vide pour l’instant, par un passage sans porte. A porte du bureau s’ouvre, et je me recule vivement. Je vois entrer Marie-josé, suivi d’une femme d’une soixantaine d’années. Elle la fait asseoir, et reste, face à elle me tournant le dos.
« Alors Mme Lefranc, comment se passent vos séances ? »
« Bien, j’ai déjà perdu 1 kg et je me sens plus tonique. »
« Comme vous le supportez bien, on va passer, dorénavant, de 20 à 30 minutes. Je vous laisse vous préparer et je vous voir pour le début. Comme d’habitude, quand vous avez fini, vous partez directement. Inutile de m’attendre. »
Sur ce , elle invite la patiente à la suivre, et elles quittent le bureau.
Elle revient accompagnée d’une jeune femme d’une trentaine d’année, assez élancée.
« qu’est ce qui vous amène ? ...