Une panne vite oubliée
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Poesexe, Source: Hds
... jambes, je guide mon paf et me detends en remontant, au chaud dans sa chatte déjà humide. Je coulisse lentement en elle, et appuie sur son dos pour la faire fléchir davantage. Tout en continuant ma levrette, je force son petit trou avec un doigt. Elle gémit. Un peu de savon m’aide à entrer un deuxième doigt. Je fais tourner mes doigts pour élargir le passage. Elle écarte ses fesses avec ses mains et me dit : « Maintenant, vas y , mets la moi. » Je me présente face à son anus et mon gland vient forcer le passage.
« Ahh, non, ça fait mal ! »
« tu veux que j’arrête ? »
« Non, continue, je veux savoir. » dit elle en poussant son cul vers moi.
J’attrape ses hanches et m’enfonce d’un coup dans ses boyaux.
« Oh, aie, aie, aie ! tu me défonces, ça brule ! »
je commence a coulisser doucement en elle, déclenchant des cris de douleur
« Ah, ça brûle, ça me déchire, vas y à fond ! » crie t’elle
j’accélère le mouvement et vient bientôt faire claquer mes couilles sur son postérieur, a chaque aller
« Ahh, vas y encore, ça fait mal, vas plus au fond ! »
Je pousse de plus en plus, la plaquant contre le mur, et je sens son cul qui vient au devant de ma bite . Le plaisir monte irrémédiablement. Je la pilonne jusqu’à ce que j’ejacule dans un spasme, mes grognements à l’unisson de ses cris. Nous restons un instant ainsi, puis je décule lentement. Le sperme s’échappe de son cul et dégouline sur ses cuisses. Pendant que nous nous rinçons, elle m’avoue.
« j’ai ...
... compris pourquoi beaucoup de filles refusent la sodo. Ça fait un mal de chien. «
« mais ça passe ensuite ? »
« Pas du tout. Ensuite arrive le plaisir, mais la douleur continue. C’est juste que le plaisir est plus fort que la douleur. On sent que l’un ne va pas sans l’autre. Si on veut le plaisir, il faut accepter la douleur. »
« Il faut être maso, donc ? »
« un peu, oui, mais pas seulement. Du coup j’apprends de nouvelles choses sur ma tante… »
« Qui serait maso ? »
« Non, ce serait trop long à t’expliquer… viens, on va boire un coup et hop ! bronzette ! » s’exclame t’elle gaiement en sortant de la douche.
Je me sêche et enfile mon caleçon pour la rejoindre sur la terrasse. Elle me suit bientôt avec un pichet de citronnade, toujours nue comme un ver. Le vêtement doit être pour elle une convention sociale qu’elle abandonne dès que possible. Elle se moque de mon caleçon tandis que nous buvons, puis elle va s’étaler sur un transat, et ferme les yeux.
Quelques heures plus tard, alors que nous somnolons sur les transats, Marie José revient.
« Eh bien, c’est relax ici ! « dit elle « Gwen tu pourrais t’habiller un peu, tu n’es pas seule. Si quelqu’un peut mettre la table, on va grignoter vite fait. J’ai des clients à partir de 14h. »
Gwen se lève et s’éclipse, pour revenir, vétue d’un shorty, presque plus indécent que si elle était nue, portant assiettes et couverts.
Nous sommes bientôt installés sous une tonnelle ombragée, pour partager melon et jambon, ...