1. Duchesse et catin (3)


    Datte: 23/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... s’allongea tête-bêche. J’en conclus que les cordes étaient faites pour libérer ses mouvements. Il glissa son visage entre mes cuisses, et se tendit sur ses jambes pour aller et venir dans ma bouche. De temps en temps, il fléchissait, en profitait pour me manger à nouveau la chatte où son menton mal rasé produisait des merveilles, puis se cambrait à nouveau et me défonçait la gorge derechef. Mes mâchoires me faisaient mal à force de rester ouvertes sur l’énorme engin.
    
    A la fin, sans prévenir, il éjacula. Je faillis m’étouffer et vomir, à la fois à cause de la surprise et de la quantité de sperme.
    
    J’étais choquée. Je n’avais pas intégré à ce qu’on puisse faire cela. Je fus bien obligée de tout avaler ou presque. C’était visqueux, amer et salé... et pourtant, passé le premier moment de dégoût, je trouvais cela agréable.
    
    L’homme se retira, essuya sa bite sur le bout de mes seins et descendit du lit.
    
    J’attendais qu’il me détache, mais, au lieu de cela, il se mit accroupi, mangea à nouveau mon minou, le doigta lentement et à fond, alors que j’étais encore secouée de spasmes du plaisir, comme les répliques d’un tremblement de terre. Puis il se mit debout et s’éloigna vers le fond de la pièce.
    
    C’est alors que la porte d’entrée s’ouvrit.
    
    Jack entra. Son jeune frère s’arrêta net.
    
    — Où allez-vous, Job Hornyman ? Qu’avez-vous fait ?
    
    — Rien... rien encore.
    
    — Et vous ne le ferez pas ! Pas avec elle !
    
    — Pourquoi ? Elles aiment toutes, cela.
    
    — Que vous ...
    ... dites !
    
    — Voyez notre sœur !
    
    — Elle, c’est différent... je vous défends, vous entendez, je vous défends ! Pas Madame... D’ailleurs, vous finirez par nous attirer des ennuis avec ces pratiques. Si Monsieur le Duc savait... et savait quels étaient vos projets... craignez sa colère.
    
    — Soit !
    
    Tout en tenant ses propos incompréhensibles destinés à son frère sur un ton d’autorité, Jack s’était approché et me déliait.
    
    — Tout va bien, Madame ? Il ne vous a pas fait de mal.
    
    J’étais confuse. Mon sexe dégoulinant, mes seins et mon visage recouverts de foutre... je balbutiai un "non" confus.
    
    — Habillez-vous ! Sa grâce nous attend !
    
    Je fis du plus vite que je pus. Il m’avait apporté quelques vêtements de rechange.
    
    Au moment de partir, Job me salua :
    
    — Au plaisir Madame, revenez quand vous voulez.
    
    — Elle ne reviendra pas ! répondit Jack.
    
    Je lui fis un sourire, ne sachant que faire d’autre, puis sortis. Il ne pleuvait plus, mais le vent était fort, et les nuages, encore lourds.
    
    — Pourquoi ne devrais-je pas revenir ? Que vouliez-vous dire pendant votre conversation ? dis-je, une fois calée dans le siège de la voiture avec laquelle Jack était venu me rechercher.
    
    — Vous ne devez pas revenir, c’est tout.
    
    — Ne suis-je pas chez moi ?
    
    — Mon frère est... bizarre. La guerre l’a abîmé. Elle nous a tous abîmés. Mais lui... c’est particulier...
    
    — Qu’entendez-vous par "vous ne le ferez pas avec elle" ? De quoi parliez-vous ?
    
    — Il vaut mieux que vous ne le ...
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