1. Duchesse et catin (3)


    Datte: 23/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... semblait vouloir dire qu’il y avait une relation charnelle entre la sœur et le frère... et pourquoi pas les deux ? Mais j’étais trop occupée à le pomper pour me poser plus de questions.
    
    Il dégageait une forte odeur, presque animale. Bien sûr ! Il rentrait et ne s’était pas encore lavé comme avaient dû le faire Jack et le duc avant de coucher avec moi. Ce parfum m’amena à lui manger les couilles. Il s’allongea sur le dos, écarta les jambes pour me permettre de lécher toute sa zone génitale, qui était humide. Il avait transpiré. C’était nouveau et délicieux. Décidément, les hommes étaient pleins de surprises et de nouveaux attraits. Je regrettais de moins en moins mon mariage.
    
    Je me délectai un long moment, respirant fortement, nettoyant tout son paquet avec ma langue, mais, soudain, il se releva, me prit dans ses bras et me poussa sur le lit.
    
    Il écarta mes cuisses, me mangea furieusement la vulve, aspira lécha, mordit le clitoris, plongea sa langue dans mon sexe aussi loin qu’il le put et m’arracha en quelques secondes un bref, mais colossal orgasme.
    
    Puis, il se leva, m’attrapa par les cuisses pour m’amener au bord du lit, et il me pénétra d’un coup sec et rapide... enfin sec, si l’on peut dire. J’étais déjà toute trempée de cyprine et de salive. Il était d’une vigueur peu commune et il me saboula comme si j’avais été un voilier dans la tempête. Cela n’avait rien à voir avec ce que m’avaient fait son frère et mon mari, qui, à côté, étaient des enfants de chœur. ...
    ... C’était beaucoup plus violent, plus brutal, plus bestial. Il poussait des râles gutturaux, prononçait des paroles incompréhensibles en écossais, m’enfonçait ses doigts dans la chair, ses ongles dans mes seins, sa bite au fond de mon vagin.
    
    Les chairs claquaient, la sueur coulait et les cris emplissaient la pièce. Tout mon corps vibrait, tremblait, tressaillait sous l’ouragan sexuel qui me dévastait. Je jouis une première fois, et puis très vite une deuxième, et encore après une troisième. Je ne pensais pas qu’on pouvait avoir autant d’orgasmes à répétition. On devait m’entendre sur toute la lande... déserte, fort heureusement.
    
    Enfin, il s’arrêta, s’écroula sur moi, en ruisselant de transpiration. Nos cœurs palpitaient à tout rompre. Il m’embrassa puis posa sa bouche sur mon corps, suça les seins et descendit vers le con qu’il lécha encore une fois. Puis il se redressa.
    
    Quant à moi, j’étais inerte, abattue par le cyclone, les bras étalés, les jambes flasques, je récupérais.
    
    Je sentis qu’il attachait quelque chose à ma cheville droite. `
    
    — Que faites-vous ?
    
    — On n’a pas fini. Je vous prépare pour la suite. Vous n’avez encore rien vu.
    
    J’étais trop lasse et trop en désordre dans ma tête pour réfléchir et faire autre chose que de m’abandonner à sa volonté.
    
    Quand les deux chevilles furent enroulées, il suspendit les cordelettes à des anneaux placés sur la poutre du plafond, de sorte que j’avais les jambes attachées, écartées, tendues en l’air.
    
    Puis, il ...
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