1. Duchesse et catin (3)


    Datte: 23/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... sentis s’approcher de moi. Il attrapa mes cheveux que je regrettai de n’avoir pas gardés à la garçonne et tira légèrement la nuque en arrière en se penchant vers mon oreille.
    
    — T’aimes la queue, cochonne... mon frère me le jure... tu aimes la bite, chienne, ma belle duchesse. Suce mon nœud... il est plus gros que ce que t’as jamais vu.
    
    Comme je ne bougeais pas, il tira un peu plus fort tout en me collant et me saisissant un sein, ses lèvres sur mon cou, son souffle chaud dansant sur ma peau quand il dit plus fort :
    
    — Suce, suce ma queue... tout de suite, maintenant. Suce !
    
    — Lâchez-moi.
    
    Il hésita, me lâcha et recula.
    
    Je me détournai et le giflai violemment. Je le désirai, il fallait l’admettre, mais ne voulais pas qu’il décide à ma place.
    
    Il y eut un moment de silence. Il resta interdit, et moi, immobile.
    
    — Vous aimez mon frère ?
    
    — Vous dites n’importe quoi !
    
    — Vous savez, si mon frère n’avait pas été là, c’est moi que Monsieur le Duc aurait envoyé à sa place... D’ailleurs, Monsieur dit que quand vous serez plus habituée... on pourra venir tous les deux et puis je sais que je ne dois pas vous mettre enceinte.
    
    — Taisez-vous, taisez-vous, taisez-vous !
    
    — Jack dit que vous criez de plaisir et que vous y allez de plus en plus librement. Mais moi, j’vais vous faire découvrir de vrais trucs...
    
    — Mon mari et votre frère me suffisent...
    
    — Mais là, il n’y a que moi pour apaiser ton désir...
    
    — Mais je n’ai aucun désir.
    
    — Avec tes seins ...
    ... et ta moule gonflée comme ça... Allez, viens, prend ma queue !
    
    Je n’étais évidemment pas habituée avec une telle familiarité, mais cette familiarité agissait sur moi comme un serpent qui hypnotise sa proie du regard. Cependant, comme je ne bougeais pas, il s’agenouilla, me saisit par les fesses et m’attira brusquement vers son visage. Je sentis son souffle chaud puis il se mit à agiter la tête en tous sens sur mon pubis, en criant.
    
    — Sucez-moi, sucez-moi, par pitié. Vous me rendez dingue, vous êtes trop belle, trop belle...
    
    Et il posa sa bouche sur mon sexe !
    
    J’étais déjà tellement excitée que mon bouton en était tout enflé, comme il l’avait remarqué, et tellement sensible que je cédai immédiatement. En quelques secondes, il me fit crier de joie. Alors que je caressai frénétiquement son cuir chevelu. Quand il comprit que j’étais vaincue, il se releva progressivement en me léchant le nombril, le ventre et les seins, puis il m’embrassa à pleine bouche. Je fis le chemin en sens inverse, en lui mordant la poitrine et en me jetant sur son sexe dès que je fus à la hauteur. Il avait vaincu mon irrésolution. Je ne m’appartenais plus, folle de désir désormais.
    
    Son organe, effectivement, me parut plus gros que celui de son frère, mais le gland, du coup ne se détachait pas de la hampe et était moins ourlé.
    
    — Ouais, elle est bonne ta bouche... Hmmm, tu suces mieux que les filles du village. Tu seras bientôt aussi bonne que Megan...
    
    Je fus choquée par ce propos qui ...
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