Homme marié se demandant si son épouse le trompe
Datte: 20/03/2019,
Catégories:
fh,
couple,
hsoumis,
fdomine,
noculotte,
Oral
nopéné,
Humour
Auteur: Philippe, Source: Revebebe
... en murmure à mon oreille. J’adore, tu peux pas savoir, et je sais que tu aimes ça aussi maintenant…
— Oui…
— Ah, tu vois, t’aimes bien que je te fasse attendre, hein…
— Oui…
— C’est pour ça que je te branle pas.
— Oui…
— J’aime que ça monte doucement pour toi.
— Hum…
— Et puis, te tenir comme ça… hum…
— Tu aimes…
— Oh oui, chéri, j’adore ça ! Toi aussi ?
— Oui.
— Ah, tu vois ! Alors ça vient ou j’arrête ? me demanda-t-elle d’une toute petite voix mutine, enfantine.
— Ça va venir, chérie…
— Dépêche-toi, je vais être en retard, tu sais.
— Hum… Tu y vas seule, alors ? dis-je, me souvenant d’un coup de la soirée.
Elle me mordilla l’oreille, me la mouilla même de sa petite langue :
— Oui, toute seule, comme une grande… devant mon patron… hum… il va me mater… le salaud…
— Ah chérie… ça monte….
— Je sais, je le sens, mon amour, tu trembles, hum… Il va me mater les seins, tu sais… Y a pas que toi qui les aimes, lui aussi…
— Aussi ?
— Oh oui, il est tout rouge quand il regarde ma poitrine !
— Chérie…
— Oui ?
— Ça monte, là…
— C’est parce que je te dis ça, hein ?
— Oui…
— Il va me mater partout, tu sais, les cuisses aussi, et comme j’ai pas encore remis de culotte…
— Oh, chérie…
— Vingt-deux ! J’en remets pas, dis ?
— Ah…
— Oui, chéri. Allez, jute ! Imagine que j’aille à la soirée sans culotte…
— ...
... Oui…
— Tu veux ?
— Oui, si tu veux…
— Fais gaffe, mon amour, j’ai envie de le faire…
— Oh, fais-le… ah !
Annie sut à ce moment-là que j’atteignais le point de non-retour. Mes jambes tremblaient de toutes parts. Sa petite main n’avait jamais bougé sur ma queue, mais elle sentait tout comme moi la montée du sperme. Elle détourna la tête pour regarder ça.
— Ah, j’aime bien quand ça te vient tout seul comme ça, tu sais…
D’un seul coup, je jutai en salves rapprochées, me pliai en deux comme pris d’une quinte de toux. Je sentais toujours ma chère épouse adorée collée sur mon flanc, sa main libre sur mon épaule comme m’accompagnant…
Mais avant que je ne reprenne complètement et totalement mes esprits (où étais-je parti pendant quelques secondes ?), je n’eus que le temps de la voir de dos dans l’entrée, une jambe nue, levée, le genou plié, en train d’enfiler d’une main son soulier. L’autre jambe, nue également, était déjà chaussée de son haut talon, son sac de soirée noir brillant pendait à son épaule par-dessus sa petite veste trois-quarts. En se retournant, elle chipa les clés de la voiture dans le bol en cuivre sur le petit meuble, me fit un petit signe joyeux de la main, comme ravie de son petit tour :
— J’y vais, me dit-elle en me faisant un baiser de la main et en claquant la porte derrière elle.
À suivre ?