1. Homme marié se demandant si son épouse le trompe


    Datte: 20/03/2019, Catégories: fh, couple, hsoumis, fdomine, noculotte, Oral nopéné, Humour Auteur: Philippe, Source: Revebebe

    Ma femme me surprend dans la salle de bains par des gestes inhabituels. Nous discutons de la soirée à venir, où nous sommes invités à un cocktail par son nouveau directeur. Ma femme m’avoue que celui-ci semble beaucoup s’intéresser à elle, et elle s’interroge sur sa tenue, tout en me tenant… intimement.
    
    À ce moment-là, le téléphone se mit à sonner. Annie déglutit et cessa un peu trop rapidement de boire. Un peu de liquide coula du bord de ses lèvres sur son menton et même un peu au-dessous avant qu’elle ne le récupère du plat de la main. Toujours prompte à décrocher (déformation professionnelle probablement), elle courut presque prendre le fixe dans notre chambre juste à côté. Déçu qu’elle me lâche… je soupirai tout en dressant distraitement l’oreille :
    
    — …
    — Oh là, Nicole ! Te rends-tu compte, on en parlait ! On se prépare même à partir, quasiment.
    
    Sa voix baissa quelque peu après le prénom de son interlocutrice qui donc s’appelait Nicole et qui, je crois m’en souvenir, était sa collègue et copine au travail
    
    — …
    — Ah bon, je ne savais pas…
    — …
    — Dans ce cas, évidemment, ça change tout…
    — …
    — Oui, bien sûr.
    — …
    — Bon, bah, écoute, je vais voir ce que je peux faire…
    — …
    — Hum, hum, oui, oui…
    — …
    
    Pendant ce temps, je commençais à trouver le temps long ; l’eau de mon bain refroidissait. Je me levai alors en tirant sur la bonde. Annie est un peu pipelette, et là aussi, songeais-je… déformation professionnelle. Alors que j’étais sec, en slip et chemise à ...
    ... peine boutonnée, j’entrai dans notre chambre en commençant mon nœud de cravate. Annie raccrocha juste à ce moment-là et se retourna vivement, les joues roses/rouges, me semblait-il. Elle se leva promptement comme une petite fille, du bord du lit où elle était assise, ce qui fit aussi se lever sous sa robe sa somptueuse poitrine, à croire qu’elle en jouait, me dis-je. Son doux visage au teint légèrement halé, ses yeux en amande, soulignés par des cils bien noirs et qui contrastaient avec la blondeur de ses cheveux, bondirent sur moi et, sans me demander mon avis (l’habitude), elle s’attaqua à mon nœud de cravate en me donnant une gentille tape sur la main d’un air de me dire « laisse-moi le faire ». Elle prit alors une inspiration et baissa les yeux sur mon cou :
    
    — Tu ne vas pas le croire.
    — Quoi, qu’est-ce qu’il y a encore ?
    — Nicole, tu sais, ma collègue, c’était elle au téléphone…
    — Oui, ça j’ai cru comprendre, vingt minutes au moins à papoter…
    — Oh, je t’en prie, mon chéri, les femmes aiment bien cela, tu le sais… Eh bien, tu ne sauras jamais ce qu’elle vient de me dire ?
    
    Je relevai un peu plus le cou car, comme à son habitude, ma chère Annie, en serrant le nœud, eh bien, le serra trop fort.
    
    — Non, mais je sens – aïe – que le mystère ne va pas durer.
    
    Elle s’évertua donc à faire l’opération inverse – desserrer –, appliquée, sa petite langue rose pincée entre ses lèvres serrées.
    
    — … que ce serait mieux que tu ne viennes pas à la réunion de ce soir.
    
    Pour ...
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