1. Homme marié se demandant si son épouse le trompe


    Datte: 20/03/2019, Catégories: fh, couple, hsoumis, fdomine, noculotte, Oral nopéné, Humour Auteur: Philippe, Source: Revebebe

    ... décoller un peu de mes mains son bassin…
    
    — Ohhhh… hum… chéri…
    
    Reprenant ses esprits, ma femme adorée se recula plus encore et me regarda toute souriante, heureuse. Je levai la tête, la regardai également. Ses yeux quittèrent les miens pour regarder ma queue, mes couilles et mon gland luisant sortis de mon slip…
    
    — Ha ha ! s’exclama-t-elle, rieuse, comme surprise.
    
    Je restais à genoux, immobile. Comprenant que je n’avais pas éjaculé, elle sembla réfléchir un instant puis, souriante, aimante, me dit en me tendant la main :
    
    — Viens.
    
    Elle m’entraîna dans la salle de bains, en face de la baignoire. À côté de moi, debout, elle me prit la queue dans sa main, osant même me regarder dans les yeux.
    
    — À toi, mon chéri.
    
    Et ce faisant elle me décalotta, comme à son habitude maintenant, complètement, le plus possible mais sans plus bouger. Je m’en étonnai.
    
    — Chérie, mon amour, cela ne pas venir comme cela.
    
    En souriant et faisant un signe d’affirmation de la tête, comme sûre d’elle, elle répondit :
    
    — Si, si…
    — T’en es sûre, mon amour ?
    — Oui, je le pense… Tu sens pas que ça monte ?
    — Si, mais branle-moi un peu, chérie, s’il te plaît…
    — Oh, arrête ! Si ça vient, ça vient, dit-elle, coupant court… Tu m’as trempée à me lécher, il faut que je change de slip, dis donc…
    
    Disant cela, elle glissa sa main libre sous sa robe et, se tortillant, commença à baisser sur elle son slip de part et d’autre, tenant toujours ma queue, levant une jambe enfin, puis l’autre… ...
    ... ce qui engendrait des pressions variées de sa main qui me tenait toujours. Comme ayant oublié tout à fait qu’elle me tenait décalotté, bien que veillant toujours à garder ses doigts plaqués au plus près de mon pubis, plus même depuis quelques instants, ce qui engendrait une légère brûlure du frein, elle me présenta triomphalement son slip noir de l’autre main, comme un trophée…
    
    — Je te le laisse, mon chéri… dit-elle mutine, en déposant un bisou sur mon nez.
    — Quoi ? réussis-je à articuler, car je regardais, hypnotisé, ma bite arquée au-dessus de la baignoire, attendant, espérant maintenant une branlette plus franche, avançant le plus possible mon bassin.
    — Je te le laisse, mon slip, dit-elle.
    
    Elle me plaquait gentiment le sous-vêtement sur le visage, comme s’il s’agissait d’un gant de toilette et qu’elle veuille me débarbouiller. En fait, elle m’embarbouillait le nez et la bouche de son humidité.
    
    — Oh, chérie, je…
    — Alors, tu jutes, mon amour ? dit-elle en rigolant sans cesser de me laver le visage avec sa culotte.
    
    Je me laissai faire, dompté…
    
    — Oui, répondis-je, pas persuadé encore.
    
    Mais je sentais néanmoins une excitation toute cérébrale me gagner, mes couilles me chauffaient, sa main chaude, elle aussi, me tenait toujours décalotté, fortement, sans me serrer. D’où tenait-elle cette technique nouvelle ?
    
    — Tu vois… ça va venir, tu paries ?
    — Tu aimes comme ça ? dis-je presque bêtement, paralysé par l’envie de jouir.
    — J’adooore ça, me répondit-elle ...
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