1. Homme marié se demandant si son épouse le trompe


    Datte: 20/03/2019, Catégories: fh, couple, hsoumis, fdomine, noculotte, Oral nopéné, Humour Auteur: Philippe, Source: Revebebe

    ... et douce de ses jambes. Et ses mains, pourtant légères, me semblaient peser, appuyer. Ne sachant plus ce que je faisais, comme dans un brouillard d’ouate, je me laissai tomber à genoux, collé à sa jambe, le paquet sorti du slip, mon torse sur ses cuisses, mes mains sur ses fesses, mon nez sur le bas de son ventre. J’y enfouis mon visage, cherchant sa chaleur…
    
    — Oh, mon amour ! Si tu ne la mouilles pas, tu vas la froisser, voyons ! dit-elle avec un petit rire cristallin…
    
    Comme si j’exagérais… Et, disant cela, elle me repoussa doucement le front, comme en s’excusant ; elle souleva encore le tissu de sa robe pour me la passer cette fois par-dessus la tête. Ô bonheur ! J’étais là, le nez dans son slip arachnéen qui, lâche, laissait bomber sa toison de blonde, revêtait sa chatte sans la serrer, sans l’étouffer. Instinctivement, je donnais de légers coups de langue sur son pubis puis plus bas quand je sentis qu’elle-même, ma chère femme, remontait un peu son bassin en écartant légèrement les cuisses.
    
    Ma queue à l’air pointait dans le vide, je la frottais comme je le pouvais sur son tibia. Je ne me sentais pas complètement décalotté et m’en énervais. Comme si Annie m’avait deviné, elle avança son pied un peu plus entre mes genoux, comme voulant s’immiscer plus encore entre mes jambes, venant sans le vouloir buter sur mes couilles.
    
    — Hum… fis-je en me reculant juste une seconde avant de revenir à la charge.
    
    Ses mains serraient amoureusement ma tête car elle aimait ma ...
    ... langue, mon audace de la lécher au travers du voile de son slip. C’était de plus en plus chaud, de plus en plus mouillé, là…
    
    — Ah, mon chéri, c’est bon… et… ton gland… suinte… je le vois…
    — Déchalott’moi, murmurai-je, le nez et la bouche enfouis dans son slip trempé…
    — Fais-le… toi.
    — Hum…
    
    Comment résister ? Ma main quitta la fesse qu’elle malaxait amoureusement sous sa robe à même son slip – sans toutefois le lui ôter, je ne sais pourquoi, je ne me sentais pas l’idée de lui faire ça. Un peu honteux, j’empoignai donc ma tige et me décalottai. Me souvenant de sa main quand je prenais mon bain, je fis en sorte qu’elle me voie tout entier, me tenant de deux doigts, la peau maintenue tirée en arrière, le prépuce visible, non sans me branler par un petit mouvement très court, discret.
    
    Je ne reconnaissais pas Annie ; il était rare que nous en arrivions là, debout dans notre chambre, elle et moi. D’habitude, nous sommes couchés…
    
    Ses mouvements se firent plus saccadés, ses mains plus pressantes sur mon crâne dégarni. Je sentais sa délivrance proche, et en effet elle vint d’un coup. Je ne pus plus respirer tant elle me serrait le visage dans sa chatte. Cela dura et je commençais à manquer d’air même en reculant ma mâchoire inférieure, je n’arrivais pas à bien respirer, j’expirais, inspirais sur elle comme si l’air était là aussi dans ses lèvres. Annie devait sentir mon souffle comme exaspéré au plus intime de sa personne… Oh mon amour… J’en arrêtai de me branler pour ...
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