1. Homme marié se demandant si son épouse le trompe


    Datte: 20/03/2019, Catégories: fh, couple, hsoumis, fdomine, noculotte, Oral nopéné, Humour Auteur: Philippe, Source: Revebebe

    ... restâmes comme cela un instant, et sans m’en rendre vraiment compte je commençai aussi à donner des petits mouvements du bassin que sa main sur mon cul accompagnait, d’ailleurs.
    
    — Hum, fit-elle.
    
    J’étais merveilleusement bien, comme enveloppé de tout son corps, qu’elle plaquait de haut en bas, sa cuisse gauche au milieu des miennes… Je respirai plus fort pour tenter de me détendre, mon bassin lui donnait des à-coups doucement mais régulièrement. Sa voix me parvint comme un peu étouffée :
    
    — Attends, tu vas mouiller ma robe, toi, si tu coules.
    — Oh, tu crois ? J’ai une petite queue (pourquoi donc me sentais-je à chaque occasion le besoin de le lui rappeler ?), mais je ne suis pas en plus un éjaculateur précoce.
    — Hum, je sais, mon chéri, que tu as une petite queue, mais je ne te parle pas d’éjaculation, je te parle de mouiller, déjà que nous n’avons pas fait l’amour de la semaine…
    
    Disant cela, elle se détacha un peu du bassin et prit le bas de sa robe, qu’elle remonta bien haut jusqu’à me recouvrir… Ma queue, mes couilles se trouvaient d’un coup au contact direct de ses cuisses chaudes, mon gland plus sensible sentait le tissu caressant comme un frottement à peine irritant, léger, aérien. Je baissai les bras pour prendre à deux mains la masse chaude de ses fesses.
    
    — Tss, tss, chéri…
    — Quoi, mon amour ?
    — On ne va pas avoir le temps, si on continue…
    — Hum…
    
    Me souvenant tout à coup de la soirée :
    
    — Bon, ben… je ne sais plus quoi faire, moi ! Si je suis ...
    ... le seul conjoint, en plus…
    — Hum, oui, je le crains.
    — Bah, et dis donc, ton patron, là, tu me disais qu’il te faisait peur…
    — Oh, peur… N’exagère pas non plus, j’en ai peut-être rajouté. Il ne va pas me sauter dessus, quand même !
    — Ah, bah, faudrait savoir, ma chérie ! Tu veux que j’y aille ou pas ? dis-je, me redressant intérieurement comme un coq.
    
    Pendant que nous parlions, ma queue était raide, droite, horizontale. Je la frottais d’avant et d’arrière sur sa cuisse, ainsi que mes couilles, en tentant vainement – ce n’était pas facile ainsi – de me décalotter plus encore ; hum ! quel plaisir…
    
    — Écoute, mon amour, à mon avis ce n’est pas la peine que tu viennes, franchement. Si tu es le seul conjoint… En plus ce n’est pas vraiment ton milieu… Alors, je te connais, tu vas vite être mal à l’aise… Mais baisse-toi, mon amour, je te dis que tu vas tâcher ma robe, cochon !
    
    Ses mots me fouettaient, ses derniers mots, prononcés suavement, doucement avec tendresse, d’une toute petite voix câline… Me baisser. Oh oui, bien sûr !
    
    Je ployai donc les genoux pendant que ses deux mains remontaient se placer sur mes épaules. Je comprenais que je devais descendre ma queue plus bas que sa robe pour ne pas la toucher, c’est-à-dire la descendre jusqu’au plus mince de ses cuisses, mais cette position entre deux – complètement debout ou complètement à genoux – n’était pas tenable, d’autant que je ne voulais pas arrêter les mouvements de ma queue et de mes couilles sur la peau lisse ...
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