Vol 451 pour Paris - Histoires de Sexe

Vol 451 pour Paris

... je m’exécute. Ses nichons balancent sous les claques timides.

— Plus fort ! dit-elle.

Je m’exécute.

Le bruit caractéristique des seins s’entrechoquant décuple mon excitation. J’essaye de glisser une main dans sa culotte, elle me repousse, voulant finir le travail elle-même. Le miroir, au-dessus du petit lavabo reflète son visage, les yeux ouverts braqués sur mon sexe. Soudain ses traits se crispent, elle ferme les yeux, lâche plusieurs petits cris qu’elle essaye en vain de maîtriser.

Elle jouit.

À genoux devant moi, son orgasme passé, elle soulève ses deux grosses loches vers moi, les tenant en coupe, la tête penchée en arrière. Je suis debout, le pantalon aux chevilles, et me branle sans perdre une miette du spectacle. Bientôt je sens la sève monter, geyser de sperme sur ses extraordinaires mamelles. Mon éjaculation ne veut plus s’arrêter. Par saccades je couvre sa peau de petites flaques d’un blanc crémeux.

— Arrose-moi encore, c’est bon ! lance-t-elle.

Elle en est couverte, je vise chaque sein à tour de rôle cherchant à atteindre ses larges aréoles. Une fois mes testicules vidés. Elle se redresse et étale le sperme avec ma queue sur la surface de ses nichons.

— C’était trop ...

... bon, merci ! murmure-t-elle.

En plus, j’ai droit à des remerciements, ben merde !

— Heu non, c’est moi…

L’excitation une fois retombée, ma timidité reprend ses droits. Elle pose un baiser sur mon front et m’accorde un sourire.

Pantalon remonté, je quitte les toilettes la laissant se nettoyer au lavabo. Personne dans le couloir, c’est vraiment mon jour de chance. Je regagne mon siège, son mari dort toujours. Plongée rapide dans un sommeil sans rêve, je suis déjà loin quand la femme vient se rasseoir.

L’hôtesse tire un lourd chariot et distribue les plateaux du petit déjeuner quand je recouvre mes esprits. Ma voisine, déjà servie, discute avec son homme, une histoire de voiture à récupérer au parking, je ne connais même pas son prénom, il l’appelle constamment : bébé. Les hublots de l’appareil projettent une lumière vive qui fait mal aux yeux. L’hôtesse me sourit :

— Thé ou café, monsieur ?
— Je prendrai du café, merci.

Plusieurs fois, avant l’atterrissage, je me retournerai vers ma voisine, cherchant sans succès, à accrocher son regard.

Je mange sans appétit, mal à l’aise.

Sur une tranche de pain, j étale le contenu d’un minuscule pot de confiture à la fraise. Poids net 45g.