1. Vol 451 pour Paris


    Datte: 20/03/2019, Catégories: fh, fplusag, grosseins, avion, entreseins, occasion, Auteur: Mess, Source: Revebebe

    ... sens mon cœur battre dans mes tempes. Son homme dort profondément, on l’entend ronfler de concert avec d’autres passagers.
    
    La porte en accordéon est à peine entrouverte laissant filtrer un filet de lumière dans la pénombre. Heureusement, il n’y a personne. J’entre.
    
    L’endroit est minuscule, éclairé par de petits spot au plafond. La femme est face à moi, souriante, magnifique. Elle a mis du rouge sur ses lèvres. À travers son tee-shirt j’aperçois la forme de ses seins, énormes, en poire légèrement tombants, les tétons semblent vouloir percer le tissu.
    
    Je l’enlace, elle se serre contre moi. Je bande instantanément, mon sexe est plaqué contre son ventre. Sa poitrine écrasée contre mon torse, elle me tient à la taille. Je caresse ses fesses, elles sont rebondies, fermes. Je l’embrasse, ses lèvres sont chaudes, humides. Le baiser ne dure qu’un instant, déjà elle se baisse, accroupie. Le visage à hauteur de mon sexe, elle dégrafe le bouton de mon jean, qu’elle baisse jusqu’aux genoux, d’un geste rapide, emportant mon caleçon par la même occasion. Ma bite se libère d’un coup, gorgée de sang, gigantesque érection.
    
    — Putain ! Elle est grosse… dit-elle d’une voix gourmande.
    
    D’une main elle me masturbe, de l’autre elle malaxe mes testicules. Le visage à quelques centimètres, elle ne rate rien du spectacle.
    
    Je vais jouir. Pas maintenant ! J’en veux plus.
    
    Des deux mains, je délivre brusquement ses deux énormes mamelles, qui tombent lourdement sur son torse. La lumière ...
    ... crue, projetée du plafond, accentue leur taille. Les épaules rejetées en arrière, elle les tend vers moi. De longues veines bleues courent sur la masse de ses seins, la peau est fine, tendue à l’extrême. On devine nettement la marque blanche laissée par son maillot de bain. Ses mamelons larges et foncés contrastent comme deux îlots perdus au milieu d’un océan mammaire. Les tétons, antennes du désir, se dressent devant mes yeux.
    
    Elle est toujours accroupie.
    
    Je soulève ses seins des deux mains, elle vient placer mon sexe au milieu. Commence un va-et-vient furieux. Elle glisse une main dans son pantalon, se masturbe frénétiquement. Ma queue disparaît, enfouie sous ses nichons que je baise furieusement. J’imagine que tous les hommes, passés entre ses bras, ont dû vouloir lui faire subir le même traitement.
    
    — J’ai envie de te prendre la chatte ! dis-je.
    — Non, que les seins et la bouche ! rétorque-t-elle.
    
    J’interromps ma «branlette espagnole » et viens glisser ma queue entre ses lèvres. Elle ne me suce pas, c’est moi qui prends sa bouche faisant glisser toute la longueur de mon sexe, puis ressortant, pour l’envahir de nouveau.
    
    Scène obscène !
    
    La salive coule sur ma bite et son menton. Je continue à malaxer ses deux mamelles, les soulève en les attrapant par les tétons, les secouant énergiquement. Ses doigts s’activent sur son bas-ventre. Elle sort ma queue de sa bouche et me branle de sa main libre
    
    — Frappes mes seins ! lance-t-elle.
    
    Elle bombe le torse, ...