1. Vol 451 pour Paris


    Datte: 20/03/2019, Catégories: fh, fplusag, grosseins, avion, entreseins, occasion, Auteur: Mess, Source: Revebebe

    ... échangé un seul mot. Sur mon écran de télévision, je choisis un film américain et bascule le dossier du fauteuil pour une position plus confortable. Elle fait de même, et remonte sa couverture sur ses jambes puis feuillette un magazine, je sens toujours le contact de sa peau, son bras appuyé sur le mien. Les sièges ne sont pas bien larges.
    
    Son mari sort une boîte de somnifères – je reconnais la boîte verte – et en avale deux successivement. Bientôt, il sombre dans un sommeil profond, masque sur les yeux. J’aimerais en profiter pour engager la conversation, sans réelles arrières pensées, juste histoire de passer un bon moment, je cherche ne trouve rien à dire, et finis par m’assoupir à mon tour.
    
    Pour combien de temps ? Une heure, deux heures ? Je ne sais pas.
    
    Je sursaute et sors de ma torpeur ! Sa main enserre mon biceps, sa tête est posée sur mon épaule, elle semble dormir. Maintenant la cabine est plongée dans la pénombre, seulement éclairée par quelques liseuses, pas un bruit, outre le ronronnement des réacteurs. Je m’enhardis, bougeant légèrement le bras, premier contact avec son sein, je peux juger de sa consistance, il n’est pas très ferme, tout ce que j’aime. L’excitation monte.
    
    Dort-elle encore ?
    
    Ma main passe la frontière de l’accoudoir et se pose sur sa cuisse, comme un innocent geste de sommeil.
    
    Elle a bougé, changé de position, se rapprochant encore de moi, la pression de son sein sur mon bras est encore plus forte. Bouffée de chaleur. Je me ...
    ... tourne vers elle, il devient de plus en plus difficile de faire semblant de dormir.
    
    Ma main quitte sa cuisse, remonte centimètre par centimètre, et se pose sur sa poitrine. Tant pis si elle crie au scandale, je cours le risque ! Je la sens tressaillir, elle remonte la couverture sur son torse pour cacher la caresse. N’y pouvant plus, je serre entre mes doigts son téton déjà dressé, il est dur, long et large. C’est à peine perceptible, pourtant je sais que sa respiration s’accélère, sa bouche s’entrouvre.
    
    Le pelotage dure un moment, je soupèse chaque sein à tour de rôle, tirant sur les pointes, les pétrissant à pleine main. Mon sexe, toujours à l’étroit dans mon jean, va exploser. La bosse déforme mon pantalon. Je tire la couverture, déboutonne mon pantalon et sors mon sexe. Ma timidité reste au placard ! Je remonte l’accoudoir qui nous sépare encore, attrape sa main, et la plaque sur mon sexe. Immédiatement elle encercle ses doigts longs et fins autour de ma bite et me masturbe énergiquement. Je suis au bord de l’explosion. La caresse ralentit, elle se penche à mon oreille.
    
    — Retrouve-moi dans les toilettes, juste devant, dans une minute, murmure-t-elle.
    — D’accord.
    
    Ce n’est pas la meilleure des répliques mais c’est tout ce que je trouve à dire. Elle rabaisse son haut, m’enjambe, souriant au passage et s’avance dans l’étroit couloir de la cabine pour disparaître dans le cabinet de toilette. J’attends le temps nécessaire pour faire baisser cette énorme érection. Je ...