Les mains baladeuses 1 - PRÉPARATION D’UNE OIE BLA
Datte: 13/03/2019,
Catégories:
Anal
Première fois
Hardcore,
Auteur: rubylong, Source: xHamster
... en effet, je trouve plus prudent qu'il n'y ait personne à proximité. On ne sait jamais comment certaines de ces filles peuvent réagir. J'avais donc envoyé ma femme en visite chez Mme Porbus pour y discuter de la fête paroissiale. Et j'avais demandé à Virginia White, la répétitrice, d'emmener mes filles se promener au bord de la rivière.
Trois heures sonnent. Personne. Je suis dans le jardin, occupé à tailler mes rosiers. Allons bon, j'ai dû y aller trop fort. C'est qu'elle était si excitante, aussi, cette oie blanche ! N'y pensons plus. J'essaierai d'être moins pressé pour la prochaine. Mais un quart d'heure plus tard, alors que je suis occupé à asperger mes rosiers d'une solution insecticide contre les pucerons, une voiture arrive. Je me retourne. Un taxi. C'est elle ! A travers les grilles, je la vois régler le prix de la course. Sans me presser, je vais lui ouvrir le portail. Elle tressaille en me voyant et me jette un regard bizarre, par-dessous. Je connais bien ces regards-là. Ma verge se gonfle sous mon tablier de jardin. Les sécateurs dans une main, la bombe insecticide dans l'autre, je la précède dans l'allée. Pendant qu'elle s'installe dans mon bureau, je vais me laver les mains.
Elle porte aujourd'hui un tailleur très facile à déboutonner. Seulement trois gros boutons à la veste. Et dessous, un pull de mohair qui s'ouvre avec une fermeture Eclair. Les seins bougent librement. Elle n'a donc pas mis de soutien-gorge. Je la dévisage. Elle soutient mon regard, ...
... les pommettes roses.
— Avez-vous bien réfléchi, Prudence ? Etes-vous d'accord pour poursuivre nos exercices préliminaires ?
Elle fait oui de la tête.
— Alors, ne perdons pas de temps. Retirez cette veste. Et ce pull.
Elle s'y attendait visiblement, car elle n'hésite qu'à peine. Gracieusement, assise, elle se dépouille de ses vêtements. Je ne m'étais pas trompé, les seins sont nus dessous. Son pull ôté, la voici nue jusqu'à la taille.
— Cambrez-vous. Soyez coquette. Montrez bien votre jolie poitrine.
Elle m'obéit, paupières baissées. Je la laisse dans cette posture un moment. Les bouts de ses seins pointent.
— Aujourd'hui, Prudence, ce n'est pas de votre poitrine que je vais m'occuper. Vous gardez vos seins nus, car ils sont agréables à regarder, mais nous allons passer à un tout autre genre d'exercice.
J'ai le plaisir de la voir s'empourprer.
— Nous allons, lui dis-je avec une froideur voulue, nous occuper de votre anus.
Violent sursaut d'incrédulité, regard offusqué, rougeur accrue, rien ne m'est épargné, j'ai droit à toute la panoplie. Mais la demoiselle ne se rhabille pas, indignée, ne se rue pas hors du bureau en me traitant de vieux débauché ! Allons. Mon collègue de F. avait bien vu. Cette oie blanche est prête à tout pour que je lui trouve un mari qui lui permettra de ne pas se salir les mains aux rudes travaux des champs. Oie blanche peut-être, mais oie très raisonnable.
Très raisonnable ? Ou perverse ? Je vais en avoir le cœur net. Je ...