Les mains baladeuses 1 - PRÉPARATION D’UNE OIE BLA
Datte: 13/03/2019,
Catégories:
Anal
Première fois
Hardcore,
Auteur: rubylong, Source: xHamster
... ce qui me concerne, je gicle si longuement en elle, que j'ai l'impression de me vider entièrement. Mon cœur cogne dans ma poitrine, j'ai le sang à la tête, je suis au bord de la pâmoison.
Reposant sur le théâtre de mes exploits, la bite encore dedans, je reprends lentement mes esprits. Elle est silencieuse, perdue dans ses émotions, dans ses pensées.
— Dès dimanche, lui dis-je, en m'extirpant (ce qui lui arrache un soupir) je vous présenterai à cet employé de banque dont je vous ai parlé. Il y a une fête paroissiale chez Mme Porbus, la trésorière de la société de bienfaisance. Je vous y ferai inviter.
Je me reculotte, puis je la détache. Après quoi, je lui pommade méticuleusement le cul et le sexe. Toute pudeur est abolie entre nous. Rien n'est dit, mais nous nous comprenons à merveille.
Une fois rhabillée, elle m'adresse un regard interrogatif.
— Dois-je revenir demain, monsieur ?
— Laissons vos fesses se reposer, ma chère Prudence. Il ne faut pas abuser des meilleures choses. Vous reviendrez samedi, la veille de la fête. Et cette fois, j'ose espérer que vous saurez votre leçon. Sinon, comme ...
... aujourd'hui, le derrière vous en cuira !
Elle paraît tout étonnée.
— Mais, monsieur, si vous me fouettez samedi... le lendemain, dimanche, pour la fête où je dois rencontrer ce jeune homme... je serai encore toute marquée !
— En quoi cela importe-t-il, ma chère Prudence ? Auriez-vous l'intention de lui montrer vos fesses dès le premier jour ?
Elle s'embrase, comme prise en faute, avec un petit rire embarrassé.
— C'est vrai, que je suis sotte... Pas le premier jour. Mais si j'ai trop mal, je ne pourrai pas danser.
— Je me servirai d'un martinet. Cela fait mal sur le moment, mais le lendemain, il n'en reste rien.
Sur cette promesse, nous nous séparons les meilleurs amis du monde. Prudence est si charmante que je la présente à mes filles qui lui font la révérence. Et ma femme elle-même, qui l'aperçoit pendant que je la reconduis, me fait compliment sur elle.
— Elle a l'air très saine, cette jeune fille ! Une vraie fleur de la campagne ! J'espère que vous lui trouverez un bon mari.
— C'est mon vœu le plus cher, ma chère femme. Mon vœu le plus cher...
Certes, je n'entends pas me priver d'une telle perle.