1. Les mains baladeuses 1 - PRÉPARATION D’UNE OIE BLA


    Datte: 13/03/2019, Catégories: Anal Première fois Hardcore, Auteur: rubylong, Source: xHamster

    ... pas vous donner satisfaction. Je vais faire en sorte de vous trouver un bon mari... Un employé de banque, par exemple. J'ai en vue un garçon très sérieux qui rêve d'épouser une fille saine qui viendrait de la campagne.
    
    — Oh, cela ferait tout à fait mon affaire ! Est-il bien de sa personne ?
    
    — C'est un assez joli garçon. Mais avant de vous le présenter, il faut que je vous fasse subir quelques tests. Etes-vous disposée à les subir ?
    
    — Je ferai tout ce qui sera possible pour vous satisfaire, monsieur.
    
    — Ne vous avancez pas si vite. Je vais vous demander des choses qui vont peut-être offenser votre pudeur. Vous comprenez que, quand il s'agit de mariage, on n'est jamais assez prudent !
    
    — Je comprends.
    
    — Je vais donc opérer quelques constatations préalables. Restez assise, c'est moi qui vais venir à vous.
    
    Je fais le tour du bureau, je prends une chaise, et je vais m'asseoir tout près d'elle. Nos genoux se touchent. Je lui prends les mains et je les lui pose sur les accoudoirs de son fauteuil.
    
    — Vous garderez vos mains ici, quoi qu'il arrive. C'est bien compris ?
    
    Elle fait oui de la tête, visiblement inquiète de ces préliminaires.
    
    — Est-ce que des garçons vous ont déjà touché les seins, Prudence ?
    
    Un flot de sang monte à ses joues et elle baisse le front pour fuir mon regard. Ses mains se sont crispées sur les accoudoirs du fauteuil. N'osant pas parler, elle fait signe que oui, de la tête.
    
    — Les leur avez-vous montrés ?
    
    Elle hésite ...
    ... longuement, puis, à nouveau, opine du bonnet. Ses oreilles sont écarlates.
    
    — Expliquez-moi comment cela s'est passé. En quelques mots.
    
    — A la fête du village... une fois... après le bal... j'avais un peu bu, j'avais chaud... mon cavalier m'a proposé d'aller prendre le frais dehors... et c'est là... dans une grange...
    
    — Seulement les seins ?
    
    — Oh oui, monsieur, je vous le jure. Et quelques baisers. Quand il a voulu aller plus loin, je ne me suis pas laissé faire !
    
    — Eh bien, c'est parfait, ma chère Prudence. Voyez-vous, il faut que j'assure que vous avez une bonne poitrine, car le fiancé que je vous destine veut avoir des enfants et que sa femme soit en mesure de les allaiter. Si vous les avez déjà montrés à un garçon, ce ne sera donc pas une trop grande épreuve pour votre pudeur que de me laisser les examiner à mon tour.
    
    Je m'attendais à des protestations effarouchées. Il n'en est rien. Mon collègue de F. aurait-il raison ? Peut-on vraiment lui faire « avaler n'importe quoi ? » Voilà que mon érection me reprend. Quant à elle, elle attend bien sagement, les mains sur les accoudoirs, les paupières baissées.
    
    — Ce garçon que je vous destine, lui dis-je, est une véritable perle. Il est déjà le propriétaire d'une très jolie maison et il vient d'acheter une voiture neuve. Il n'attend plus qu'une jeune fille comme vous pour fonder une famille...
    
    Tout en l'endormant ainsi de promesses, je déboutonne le premier bouton de son corsage. Elle tressaille à peine. Je continue. ...
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