1. Les mains baladeuses 1 - PRÉPARATION D’UNE OIE BLA


    Datte: 13/03/2019, Catégories: Anal Première fois Hardcore, Auteur: rubylong, Source: xHamster

    ... auriez de vilaines pensées, par hasard ? Venez avec moi... nous allons étudier ça de plus près.
    
    Je la conduis devant le miroir de la cheminée. Dès qu'elle s'y voit, dépoitraillée, elle pousse un cri et veut se couvrir. Je l'en empêche en lui tenant les mains. Je prends à nouveau ma grosse voix. Et face au miroir, l'obligeant à regarder ce que je lui fais, tout en lui parlant de son futur mari, je lui empoigne à nouveau les mamelles.
    
    — Il vous le fera, lui, autant vous aguerrir tout de suite pour ne pas avoir l'air trop sotte ! A la ville, les hommes aiment bien jouer avec les seins de leurs femmes. C'est la faute de toutes ces publicités pour les dessous...
    
    Je les soupèse, les secoue, les manipule, les agite, les pétris. C'est terriblement excitant de voir son visage écarlate et ses seins blancs dans le miroir. Elle respire de plus en plus vite. Je me colle à elle par-derrière. Ses fesses charnues accueillent mon érection.
    
    — Oh, monsieur le pasteur...
    
    — Votre mari aussi le fera... lui dis-je. Nous sommes à la ville, ici, pas à la campagne. Il faut vivre avec son temps.
    
    La tenant par les seins, je la plaque contre moi. Je sens son derrière bouger. Je colle ma bouche à son oreille. Charmante oreille en forme de coquille marine. Je lui susurre :
    
    — A la ville comme à la campagne, Prudence, quand un mari fait cela à sa femme, elle doit impérativement mouiller sa culotte. Sinon, c'est qu'elle n'est pas mûre pour le mariage. Est-ce que vous mouillez la vôtre, ...
    ... en ce moment ?
    
    Elle ne répond pas. Sa bouche épaisse a pris un pli boudeur. Je tire sur les tétines roses, je les allonge, petites cornes de chair. Elle ferme les yeux, s'alanguit contre moi, me pousse les fesses contre le ventre. C'est trop pour une première fois ! En dépit de tous mes efforts pour le retenir, mon plaisir m'échappe, je lui pétris rageusement les nichons et, la serrant contre moi, j'éjacule dans mon caleçon. (Il faudra que je songe à le rincer tout à l'heure pour que Gertrude ne se rende compte de rien.)
    
    Cela s'est fait si soudainement que je n'ai pu retenir un cri furieux.
    
    — Vous êtes bien une petite femelle comme toutes les autres ! lui dis-je. Allez, mademoiselle, rhabillez-vous, l'exercice est terminé pour aujourd'hui ! Cachez donc votre poitrine, fille impudique. A-t-on idée de rester ainsi les nichons à l'air !
    
    Interdite, au bord des larmes, elle se rhabille en toute hâte. Je la reconduis jusqu'à la porte sans un mot. Au moment d'ouvrir, je lui fixe un nouveau rendez-vous pour demain. Et je referme la porte derrière elle sans attendre même qu'elle m'ait répondu.
    
    Si elle vient demain, après un tel début, c'est qu'elle est prête à tout pour se marier. En ce moment, j'en suis sûr, rien que l'idée la révolte. Mais la nuit porte conseil...
    
    MARDI. SECOND RENDEZ-VOUS.
    
    Après un tel préambule, je n'étais pas du tout certain qu'elle reviendrait. J'avais pris toutefois mes dispositions pour être seul à la maison. Pour les premiers rendez-vous, ...
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