1. Les mains baladeuses 1 - PRÉPARATION D’UNE OIE BLA


    Datte: 13/03/2019, Catégories: Anal Première fois Hardcore, Auteur: rubylong, Source: xHamster

    CHAPITRE PREMIER
    
    LUNDI. PREMIER RENDEZ-VOUS.
    
    Le printemps arrive, la chasse aux oies blanches est ouverte. Ce lundi, pendant que ma chère femme était au zoo avec les gamines (Virginia White, leur institutrice, avait ses règles), j’ai reçu dans mon cabinet Mlle Prudence Farming. Prudence Farming m’est recommandée par un collègue de F., petite bourgade proche de notre ville. Il prétend, dans sa lettre, qu’elle est « incroyablement naïve » et qu’on peut lui faire « avaler n’importe quoi ». Ce sont les termes qu’il emploie, je ne fais que le citer.
    
    « Une authentique oie blanche !ajoute-t-il dans son post-scriptum. Je ne peux m’en occuper moi-même comme elle le mérite, car je suis très lié avec ses parents, c’est pourquoi je vous l’envoie. Il s'agit de la déniaiser comme vous savez si bien le faire, afin qu'elle ne soit pas trop désarmée quand il s'agira de la marier. Dans sa famille, les filles se marient très tôt, ne vous laissez donc pas impressionner par son extrême jeunesse. »
    
    Prudence Farming arrive à l'heure dite. La bonne étant de sortie, je l'introduis moi-même dans mon bureau. C'est une jolie rustaude qui sort à peine de l'enfance. Une beauté de village un peu grossière, mais alléchante. Mal maquillée. Bouche épaisse, mais bien dessinée. Elle rougit à tout propos et baisse les yeux chaque fois que je la regarde ; c'est bon signe. Elle a l'air si stupide que j'ai un début d'érection.
    
    Elle s'assoit sur le siège que je lui désigne, en face de moi, et tire sa ...
    ... robe à fleurs sur ses genoux. Les mollets sont un brin trop forts, c'est une fille de la campagne, mais la jambe est bien faite. Son bas gauche est filé, une échelle grimpe sous sa robe. Elle regarde autour d'elle, très impressionnée par la quantité de livres qui garnissent mes étagères.
    
    J'attaque ferme.
    
    — Mon collègue de F. me dit que vous voudriez vous marier... de préférence avec un garçon de notre ville.
    
    — C'est exact, monsieur le pasteur. Il m'a suggéré de m'adresser à vous. Il m'a dit que vous étiez un conseiller matrimonial, un expert du mariage.
    
    Elle se trémousse un peu, mal à l'aise, et me lâche naïvement la véritable raison de sa visite.
    
    — Il m'a dit aussi que vous connaissiez beaucoup de jeunes gens d'un bon milieu et que, si vous étiez content de moi, vous m'en feriez connaître quelques-uns, au cours d'une fête de charité.
    
    (Brave collègue de F. ! Il faudra que je pense à lui revaloir ça. Dès demain je vais me mettre en quête d'une bonne fille bien délurée pour la lui envoyer quelques jours, histoire qu'elle se refasse une santé à la campagne. Je lui demanderai de la loger. Le reste le regarde.)
    
    — Mon collègue n'a pas exagéré. Il est vrai que j'ai fait plus de cent mariages. Si je comprends bien, Prudence, vous ne voulez pas épouser un garçon de la campagne ?
    
    — Non, monsieur. Je voudrais vivre à la ville. Et pour cela...
    
    — Pour cela, il vaut mieux épouser quelqu'un de la ville ! Cela va sans dire... Eh bien, je ne vois aucune raison de ne ...
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