1. Les mains baladeuses 1 - PRÉPARATION D’UNE OIE BLA


    Datte: 13/03/2019, Catégories: Anal Première fois Hardcore, Auteur: rubylong, Source: xHamster

    ... se plie maladroitement à ce que je demande, et, moitié contrainte, moitié de bon gré, la voici en travers de mes cuisses. Ses jambes d'un côté, sa tête de l'autre, les mains touchant le plancher. Je retrousse sa robe à fleurs et je la fais retomber par-dessus sa tête, comme une tente. Ainsi, elle ne pourra rien voir. Une long frémissement la parcourt. Sans perdre de temps, je lui baisse sa culotte sous les genoux. Puis, me disant que j'aurais à lui écarter les cuisses, je la lui retire définitivement.
    
    — Etes-vous prête à recevoir votre fessée, Prudence ?
    
    — Oui, monsieur... sanglote-t-elle d'une voix étouffée, sous sa robe.
    
    — Je vais vous disposer de la façon qui me convient, et ensuite, il faudra rester ainsi. C'est compris ?
    
    Nouvelle approbation étouffée. Je lui caresse amoureusement les fesses. Elles sont vraiment divines, à cet âge, chez ces filles bien en chair. Sa peau déjà toute moite. Je la fais pivoter sur moi, de façon à introduire un de mes genoux entre les siens, ce qui l'oblige à se mettre à califourchon sur une de mes cuisses. Dans cette posture, son cul fait face au miroir. La fente rose du con est déjà à demi ouverte. Des deux mains, j'écarte les grosses joues pâles et je peux voir l'anus tout crispé de peur.
    
    — Je vais vous fesser progressivement, lui dis-je, pour vous habituer à la douleur.
    
    Et je me mets à lui distribuer des tapes très sèches sur les fesses, sur les cuisses ; cela fait tressaillir sa chair élastique qui ne tarde pas à être ...
    ... animée d'un mouvement incessant et à rosir. Excité par ce spectacle alléchant, je frappe plus fort, du plat de la main. Les claques résonnent dans le silence. Je n'ai rien à craindre, la pièce est insonorisée. Prudence se trémousse, les fesses commencent à lui cuire, elle soupire, et tantôt, lâche un cri aigu. Je me prends au jeu, l'excitation me gagne. Je la fesse maintenant à bras raccourcis, son cul est écarlate, et la voici enfin où je voulais, en larmes, suppliante sous sa robe qui étouffe sa voix. Mais elle n'a pas un geste pour se soustraire à la punition et, dans le miroir, je peux voir son con béer de plus en plus, entre les poils roux, les grandes lèvres sont luisantes de mouille...
    
    Je surélève le genou qu'elle chevauche, et, tout en me servant du miroir pour bien viser, je lui tapote le sexe. Il est brûlant et baveux, à chaque claque mes doigts recourbés s'y enfoncent ; je m'acharne sur le clitoris. Il est entièrement sorti et tout gonflé. Chaque fois que mes doigts le frappent, Prudence piaule. J'alterne les claques molles et sournoises, très longuement appuyées, qui ne sont qu'un prétexte à la masturber en lui pétrissant la chatte et en fouillant longuement sa fente, et les vraies claques, les méchantes, qui lui aplatissent les lèvres et lui meurtrissent le clitoris. Je la rends folle, de cette façon, en alternant punition et branlette, à un rythme si rapide que bientôt tout se mélange en elle, le plaisir et la souffrance ne formant plus qu'une seule sensation ...
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