Les mains baladeuses 1 - PRÉPARATION D’UNE OIE BLA
Datte: 13/03/2019,
Catégories:
Anal
Première fois
Hardcore,
Auteur: rubylong, Source: xHamster
... fesser ! bégaie Prudence, en ouvrant grand les yeux.
Ses joues sont toutes roses.
— Eh bien quoi, lui dis-je, comme si c'était tout naturel, n'étaitil pas normal que je la punisse, puisqu'elle ne savait pas sa leçon ? Y voyez-vous quelque chose à redire ?
Elle secoue la tête, pour me dire que non, mais n'en reste pas moins abasourdie. Je l'introduis dans mon bureau dont je ferme la porte à clef.
— Mes filles sont à la maison, aujourd'hui, comme vous l'entendez. Je préfère qu'elles ne nous dérangent pas... au cas où vous seriez déshabillée...
Prudence, tortillant l'anse de son sac dans ses mains, baisse les yeux et ne dit mot. Elle a encore mis son éternelle robe à fleurs, mais ses seins, dessous, bougent librement, ce que je juge de bon augure. Au moment de s'asseoir, je la vois sursauter. J'ai laissé bien en vue, sur le bureau, la culotte de Mme Porbus qu'elle a oubliée la veille, dans son désarroi.
— Tiens, fais-je, en la fourrant dans un tiroir, elle a oublié de remettre sa culotte après la fessée. Je la lui rendrai à sa prochaine visite. Eh bien, par quoi commençons-nous, aujourd'hui, Prudence ?
— Comme il vous plaira, monsieur.
Mais ses joues qui sont maintenant d'un rouge ardent me renseignent sur ses vœux secrets.
— Et si vous me récitiez votre leçon ? C'était le Pentateuque, je crois ?
— Le... le Deutéronome, monsieur...
Et la voici en larmes. C'est aussi soudain qu'une averse et j'en reste saisi. Puis une joie atroce m'enfle le cœur ...
... et ma verge se raidit. Elle se mouche, m'adresse un regard suppliant à travers ses larmes.
— Ce n'est pas faute d'avoir essayé, monsieur, mais je n'ai aucune mémoire... Je n'y arrive pas !
Je prends l'air navré qui convient.
— Je me vois donc contraint de vous punir comme vous le méritez. Vous avez eu deux journées entières pour apprendre cette page.
— Que... que... qu'allez-vous me faire ?
— Mais vous donner une fessée, ma chère, cela vous apprendra à être plus sérieuse dans vos études !
Comme elle se lève, interloquée, et regarde autour d'elle d'un air égaré, j'ajoute :
— Une fessée à cul nu, eh oui ! Comme une vilaine fille qui travaille mal à l'école ! C'est ainsi, ma chère Prudence, il va falloir y passer... si vous tenez toujours à ce que je vous présente un bon parti.
Tout en parlant ainsi, je pousse mon grand fauteuil au centre de la pièce, face au miroir de la cheminée, de façon que la scène qui va se dérouler s'y déroule. Je suis bien décidé à ne pas me priver d'une miette du spectacle. Je m'assieds et, tout en tapotant mes genoux dans un geste d'invite, j'adresse un coup d'œil narquois à Prudence qui, debout devant moi, son sac à la main, se tortille lamentablement.
— Eh bien ? Qu'attendez-vous ?
Je lui prends son sac et je le pose derrière moi, sur le bureau. Puis je la tire à moi.
— Mettez-vous sur mes genoux. Mais non, idiote... pas assise, à plat ventre... C'est de vos fesses que je vais m'occuper.
Paralysée de timidité, elle ...