Surtout, ne pas se fier aux apparences
Datte: 13/03/2019,
Catégories:
fh,
vacances,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
amiamour,
occasion,
prudes,
Auteur: Alex2, Source: Revebebe
... devant la gêne qui aurait été la mienne si elle avait trouvé mes suppositions sans fondement. Lorsqu’elle m’a prévenu qu’elle désirait rentrer, je l’ai invitée à venir terminer la soirée en dégustant quelque chose de léger dans un restaurant du port, en ajoutant que je devais, quoiqu’il en soit, reprendre la sacoche oubliée chez elle.
— Passons toujours chez moi. La marche nous fera du bien, m’a-t-elle dit.
Je sentais le temps filer inexorablement et j’étais conscient que ces derniers instants étaient ceux de ma dernière chance. Il fallait absolument jouer les prolongations, la persuader de m’accorder encore par sa présence auprès de moi quelques heures de bonheur simple. Chez elle, j’ai dû avoir un ton suppliant en lui proposant encore de venir terminer la soirée sur le port. Elle m’a souri gentiment en acceptant, mais en me faisant promettre de ne pas la raccompagner trop tard.
Je ne me souviens pas très bien comment cela s’est passé. Elle me tournait le dos, et en pivotant pour prendre sa veste qui se trouvait à côté de moi sur un fauteuil, nos visages se sont trouvés face à face très près l’un de l’autre. J’ai approché mes lèvres des siennes. Elle ne s’est pas dérobée. Nos bouches se sont soudées dans un élan passionné. J’ai écrasé son corps contre le mien tandis qu’elle prenait ma nuque pour maintenir ma bouche scellée à la sienne. Nous sommes restés de longues minutes à nous dévorer, à explorer la douceur de nos langues, de nos lèvres, à reprendre haleine pour ...
... mieux recommencer inlassablement à découvrir notre mutuel désir. Plus mon sexe devenait rigide, plus son ventre se serrait contre le mien. Elle bougeait doucement, caressant mon érection avec la rondeur de son sexe. Sans rien nous dire, nous retardions d’un commun accord ce moment sublime où nos peaux allaient se livrer leurs secrets. Son soudain abandon, son envie de m’aimer me submergeaient de tendresse. Je caressais son dos, sa nuque, ses cheveux.
Nous nous sommes séparés ; il y avait dans ses yeux une flamme humide et suppliante. Elle a déboutonné ma chemise, elle a collé sa joue contre ma poitrine, l’a embrassée. Ses mains allaient et venaient inlassablement, lentement, tendrement sur mon dos et mes épaules. J’attendais tout d’elle ; je la voulais plus hardie et plus timide, plus entreprenante et plus soumise. Elle a défait ma ceinture ; je l’ai aidée. J’ai fait glisser la fermeture Éclair de sa robe, et enfin sa poitrine nue est venue s’écraser coutre moi. Nous avons roulé à terre. Nous nous sommes prestement débarrassés du dernier et insignifiant vêtement, ultime et dérisoire obstacle à l’aventure du plaisir.
À genoux, je me suis incliné vers le corps nu de Marie. Il était blanc, menu, longiligne et infiniment désirable. Elle avait de petits seins dont les bouts dilatés se dressaient de façon provocante et impertinente. Son mont de Vénus recouvert d’une toison claire était si sagement dessiné qu’il ressemblait à sa vie dans laquelle un désordre inattendu venait ...