Surtout, ne pas se fier aux apparences
Datte: 13/03/2019,
Catégories:
fh,
vacances,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
amiamour,
occasion,
prudes,
Auteur: Alex2, Source: Revebebe
... d’entrer. Sa toison laissait deviner une fente légèrement ouverte, vibrante et attentive. Marie, haletante m’a parlé pour la première fois, doucement, crûment, sans que la moindre censure ne vienne altérer ses paroles. Le feu qui l’habitait faisait venir à ses lèvres des mots de braise :
— Dis-moi que tu as envie, que tu bandes en me regardant ; dis-moi que tu vas me pénétrer… dis-moi, dis-moi tout ce que as envie de me faire. Je suis à toi, ne te retiens pas. Tout… tout… fais-moi tout. Touche-moi ; tu verras… Moi aussi je suis gonflée et raide… Embrasse-le ! Ah, brigand, brigand chéri, tu m’as eue. J’ai envie de te dire des tas de choses obscènes… Si tu étais un rêve, je me masturberais devant toi, pour t’exciter et te faire vivre… J’aimerais pouvoir te résister pour que tu m’ouvres les cuisses de force… Je ne peux pas te résister. Aime-moi comme un animal ; sois brutal, violent, tendre… Tu n’auras pas besoin de bouger : mon ventre a soif, il va t’aspirer…
Marie n’avait nul besoin de me supplier. Ses tétons étaient délicieusement mûrs. Ma langue les contournait, les aspirait, les enfonçait dans la profondeur de ses seins. Je sentais sa main ferme et serrée qui entourait et agitait mon sexe. Ce fut moi qui l’ai suppliée d’arrêter car le tumulte se précipitait en moi, dévalant inexorablement le cours de mon corps, de ma tête à mon ventre. Plus que ce qu’elle faisait, l’idée qu’elle en avait envie accélérait les rapides de mon plaisir. Mais je voulais offrir à ...
... l’intérieur de son corps mon désir entier, intact et inaltéré.
C’était une amante expérimentée : elle a immédiatement compris que la défaite de ma volonté était imminente. Elle a rejeté ses bras au-dessus de sa tête, allongeant son corps dans une attitude d’abandon total, fermant les yeux, creusant les reins et écartant légèrement les cuisses. Sa poitrine se soulevait au rythme de sa respiration saccadée. Elle m’attendait. Son sexe était un abricot mûr qui attendait d’être dévoré. J’ai posé ma bouche sur la douceur du fruit, d’abord longuement, une simple pression pour lui donner le plaisir de l’attente d’un plaisir encore plus intense. Ma langue a déblayé la petite forêt qui cachait le chemin du précieux talisman. Sa fente était douce et glissante. Je n’ai jamais su quel était l’endroit le plus sensible de cette merveilleuse et mystérieuse mécanique ; mais pour Marie, partout c’étaient des gémissements de bonheur. Je faisais rouler sous ma langue sa petite perle dure et saillante ; j’y exerçai une si forte pression qu’aux gémissements succédaient de petits cris de plaisir. L’intérieur de son sexe était une prison, une prison d’odeurs et de saveurs, que j’ai goûtées avidement. Sa chair souple s’insinuait entre mes lèvres à chaque aspiration. Parfois je changeais de position pour pouvoir explorer au plus profond son gouffre intime. Je regrettais que ma langue ne fût pas aussi rigide et aussi longue que mon pénis, et Marie le regrettait aussi, me suppliant de l’enfoncer encore plus ...