Se coucher tard nuit
Datte: 12/03/2019,
Catégories:
f,
fh,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
conte,
plage,
Auteur: Katzou, Source: Revebebe
... Jean ! Et vous ?
Il marchait vite, il s’arrêta et se retourna pour l’attendre. Il grava l’image de la jeune fille, si fragile, si belle, si nue, dans sa mémoire.
— Carole !
— Vous n’avez pas froid ? Excusez-moi, j’aurai dû vous proposer ma chemise ! Je suis désolé, tenez !
— C’est gentil !
Elle accepta la chemise à manches courtes de l’homme et l’enfila sans la boutonner. Son eau de toilette l’imprégnait, elle aimait bien ce parfum. La chemise s’arrêtait au ras de ses fesses et elle se sentit encore plus fragile ainsi. Le tissu pourtant doux râpa sa peau salée et la gêna : c’était une chemise d’homme et la coupe ne lui allait pas, la pointe ses seins frottaient continuellement sur l’étoffe, l’agaçant et l’excitant encore plus. Elle rapporta son attention sur son compagnon de route. Il était pas mal, musclé et bien foutu ! Il rit et elle aussi. Il s’approcha d’elle. Elle réalisa qu’il gardait volontairement une certaine distance entre eux, restant plus loin que nécessaire.
— Venez plus près, je ne vais pas crier pour vous parler !
— Carole, je suis désolé, mais…
— Oui ?
Elle savait ce qu’il allait lui dire, elle avait compris aussi pourquoi il lui avait prêté sa chemise et cela la rendit bizarrement joyeuse. Quelques minutes plus tôt, elle se serait sauvée à toutes jambes et maintenant…
— Je… vous me faites de l’effet ainsi et je préfère garder mes distances.
— Jean, qui vous dit que vous ne me faites pas d’effet ?
Il ne répondit rien. Carole le ...
... trouvait mignon et avait envie de lui. Elle se trouva contradictoire, elle avait eu peur de lui et maintenant…
Ses prouesses de l’après-midi l’avaient jetée dans un état d’excitation qui ne l’avait plus quittée. Sa tenue et l’érotisme de sa situation, la douceur de la nuit et la voix de Jean, chaude et profonde la faisaient craquer.
Ses craintes s’étaient envolées, elle avait envie de connaître Jean, de le connaître bien.
Sa fatigue était passée, elle se sentait bien, l’adrénaline qui s’était déversée en elle la dopait et sa tenue, la sensualité de la nuit, chaude et douce, la présence du jeune homme, prévenant et doux, tout cela et le souvenir de son après-midi, son aventure, tout cela la chavirait. Elle sentait avec délice le vent passer entre ses jambes nues et fraîchir son sexe maintenant mouillé. Elle enleva la chemise qui la couvrait et lui tendit.
— Viens, on va se baigner.
Il faisait chaud et lourd près de l’eau, elle voulait le voir, le sentir près d’elle, nu, elle voulait bien lui faire l’amour, maintenant. Elle lui prit la main et l’entraîna en courant sur le sable de la plage. Il se dévêtit après une courte hésitation et la suivit dans l’eau tiède.
Elle vit sa silhouette bleutée sous la lune et le trouva beau, elle aimait sa démarche et son désir s’amplifia, la submergea. Elle se revit sur sa planche, se faisant souffrir, gémissant de plaisir, seule.
Très vite elle sentit entre ses jambes son sexe dur et chaud. Elle l’embrassa et ouvrit son ventre ...