1. Se coucher tard nuit


    Datte: 12/03/2019, Catégories: f, fh, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation conte, plage, Auteur: Katzou, Source: Revebebe

    Faire la planche
    
    Carole aimait le soleil et pensait que le bronzage la protégeait forcément. Elle avait tort, mais c’est une autre histoire.
    
    Elle passait des vacances familiales avec ses parents, au bord de l’eau, sur la plage et dans l’eau.
    
    Carole aimait s’exposer nue au soleil, mais cette idée n’était malheureusement pas partagée par son père. Sa mère avait l’esprit beaucoup plus libre et lui avait proposé de s’installer sur une plage naturiste un peu plus loin de la leur.
    
    Mais jusqu’à présent, elles n’avaient pas pu mettre leur projet à exécution et se contentaient d’enlever le haut, ne conservant qu’un « bas » minuscule que Carole s’était efforcée de réduire au minimum.
    
    Il faut dire que le string de Carole se réduisait vraiment à une cordelette d’une finesse transparente qui lui passait entre les fesses avec cependant peu de délicatesse.
    
    La cordelette s’incrustait, séparant deux globes bien ronds et fermes puis continuait son chemin, passant sur son périnée et se faufilant entre les lèvres de son sexe qu’elle avait charnues et fournies. Le tissu ne commençait qu’à ce moment-là, un peu trop haut, ne masquant que les deux tiers de sa vulve, hésitant entre une retraite dans la vallée salée et un rôle de cache-sexe minimum. Son sexe était plus révélé que caché et le tissu d’une finesse arachnéenne se plaquait avec plaisir sur ses chairs bombées, sur le tumulus mystérieux de son mont de Vénus, le bien nommé. Tout se voyait, tout excitait, tout se mouillait. ...
    ... Mais elle préférait cela, cette provocation mineure à une culotte trop confortable, mais sage.
    
    Elle pratiquait le surf et aurait aimé ne plus être gênée, le mélange de l’eau de mer et de ses eaux secrètes l’irritait et rougissait son entrejambe, le vêtement était trop petit !
    
    Sa mère, plantureuse et mûre était aussi splendide qu’elle, mais revêtait un une-pièce dont elle roulait le haut avec un érotisme savant, arrêtant le tissu à la limite de l’indécence, à la naissance de sa toison pubienne qu’elle arrangeait pour la faire dépasser un tout petit peu, laissant quelques poils follets affoler les esprits.
    
    Carole ne l’avait jamais encore montré à sa mère, mais elle se rasait totalement, depuis le début des vacances, dégageant son pubis et le bombé de son mont de Vénus.
    
    Mère et fille possédaient des poitrines rondes et d’une forme parfaite, aux aréoles claires et aux tétons gourmands et pointus.
    
    Ce jour-là, Carole avait chevauché sa planche de surf avec une idée bien précise en tête.
    
    Elle s’était assise sur la planche rugueuse, les jambes bien écartées, les fesses à plat et cambrée, avait pagayé vers les vagues, au loin, vers la tranquillité.
    
    La mer la berçait et léchait doucement ses jambes, arrosant son ventre d’écume salée et iodée, rafraîchissant sa peau surchauffée par le soleil déchaîné.
    
    Personne ne la côtoyait, aucune planche, aucun nageur, elle était seule.
    
    Arrivée au large de la plage, elle s’allongea sur la planche, se contorsionnant pour se ...
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