Se coucher tard nuit
Datte: 12/03/2019,
Catégories:
f,
fh,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
conte,
plage,
Auteur: Katzou, Source: Revebebe
... tête dans l’eau, aspirant avec délice le breuvage frais. L’eau la mouilla et rinça le sel accumulé, elle tourna la tête pour voir si personne ne la voyait. Alors elle enjamba la margelle et se plongea toute entière dans l’eau glacée.
Elle s’allongea sous le jet d’eau douce et frotta de son corps le sel et le sable, se revigorant à la fraîcheur de la source. Elle but longuement et l’eau lui parut le meilleur des nectars.
Elle sortit, dégoulinante sirène érotique et reprit sa planche. Le petit vent de la nuit la fit grelotter, sa peau se couvrit de frissons. Elle était gelée maintenant. La route était encore longue, elle avait accosté à des kilomètres de chez elle, à l’autre bout de la station.
Elle marchait rapidement maintenant, sa planche de plus en plus lourde la faisait se déhancher et elle commençait à avoir mal aux reins. Soudain, elle se rendit compte qu’elle était encore plus loin qu’elle ne le pensait. En effet, elle avait dérivé jusqu’à la station voisine et c’était dix bons kilomètres qui la séparaient de son lit… Elle en laissa tomber sa planche de dépit. Dix kilomètres à pied, entièrement nue et en pleine nuit…
Jamais elle n’en sortirait intacte…
Abattue, elle s’assit sur le sable encore chaud du bord de la route, pas pour longtemps, car des herbes barbelées vinrent lui rappeler sa tenue et piquèrent avec énergie la peau douce de ses fesses.
Carole se reprit et calcula : dix kilomètres : deux heures de marche rapide. C’était dans ses cordes, ...
... elle était assez sportive pour cela, pas de souci, en route se dit-elle.
La nuit était noire, douce et belle. Carole profita de la situation, jamais elle n’aurait pu faire cela, se promener toute nue ainsi, par une nuit d’été aussi douce, alors autant se laisser aller un peu.
Ses pieds foulaient avec aisance le macadam chaud et doux, un petit vent la rafraîchissait juste ce qu’il fallait, et sa peau se faisait caresser par les effluves iodés de la mer, toute proche. Elle eut envie de se soulager et pleine d’audace, elle s’installa au milieu de la route et debout, les jambes écartées comme un homme elle vida sa vessie, pressant de sa main son pubis pour orienter le jet avec une joie enfantine.
Le jet s’écrasa avec bruit sur le macadam et lui mouilla les jambes, n’en pouvant plus, elle avança deux doigts et se fit jouir rapidement, s’étonnant de la vitesse à laquelle son plaisir déferla, secouant son bas-ventre de spasmes de plaisir qui lui mouillèrent les cuisses.
Revigorée pas son orgasme audacieux, elle se sentit revivre. Elle reprit sa route, marchant sur la bande blanche au milieu de la chaussée, seule au monde.
Rien ne bougeait, seul le vent dans les pins parasols au bord de la route égayait la nuit, les étoiles ne clignotaient même pas, ses pieds nus ne faisaient pas de bruit.
Elle poussa un petit cri et l’écouta s’amortir au son du ressac omniprésent de la mer.
Sa tenue lui revint soudain comme un coup de poing à l’estomac : elle était totalement et ...