1. L'arbre des délices


    Datte: 08/03/2019, Catégories: fh, ff, ffh, fffh, couple, hotel, boitenuit, revede, Oral hgode, attache, délire, fantastiqu, Auteur: Balou, Source: Revebebe

    ... orteils. Ensuite, de petites langues roses me léchèrent la plante des pieds. Je criai sous cet assaut imprévu : on me chatouillait et je ne pouvais rien faire.
    
    Les menottes se détachèrent toutes seules, mais les « branches bouches » me maintenaient ligoté avec délicatesse.
    
    Des dizaines de petites bouches se déployaient maintenant autour de moi. On aurait dit qu’elles dansaient, c’était à la fois beau et inquiétant. Les langues me léchaient, chaque parcelle de mon corps subissait ces caresses. L’excitation me gagna davantage lorsque les branches me soulevèrent et qu’une bouche plus volumineuse se présenta devant ma verge. Les lèvres charnues s’entrouvrirent. De belles dents blanches étincelantes s’écartèrent pour céder la place à une langue d’un rouge profond. Je haletai, debout et ligoté au tronc de l’arbre.
    
    La « bouche branche » se rapprocha. Elle souriait. D’autres branches suçaient mes tétons, une autre me mordillait les fesses, une autre encore léchait la sueur qui maintenant ruisselait sur mon front. Je haletai, bras et jambes écartés, debout, ligoté devant cette bouche magnifique.
    
    À l’autre bout de la chambre, je voyais ma femme tête-bêche entre les cuisses d’Annie. Virginie quant à elle se masturbait devant les deux femmes. Mon esprit semblait comme figé, bloqué par le plaisir qu’allait m’offrir le Merveilleux.
    
    Je tressaillis. Une bouche aventureuse vint titiller l’entrée de mon intime pertuis. Sa langue lubrifia l’œillet, je savais ce qui m’attendait. ...
    ... Ma verge tressautait devant moi, face à la bouche qui se rapprochait lentement.
    
    Les branches me forcèrent doucement à me laisser choir vers l’avant, d’autres encore écartèrent mes cuisses. J’allais me faire sodomiser à mon tour sur l’autel du Merveilleux. Je suais de grosses gouttes qui s’écrasaient sur le tapis d’orient et disparaissaient dans la trame.
    
    Mes fesses vibraient, je gémissais car une langue qui me semblait très longue s’insinua en moi. Un être vivant à part entière me pénétrait, c’était fabuleux, chaud et doux. Me faire ainsi enculer était délicieux. Je criai mon bonheur. Vanessa se redressa et vint vers moi. Elle me regarda amoureusement me faire dévorer l’anus. Elle souriait, elle était belle ma femme, nue, debout, dans toute sa beauté vénusienne.
    
    La bouche s’avança encore. Je hurlai maintenant car un cylindre long et raide venait de prendre la place de la langue. Sodomisé j’étais !
    
    La verge coulissa d’abord lentement, elle se retira presque et sans que je m’y attende elle me re-pénétra puissamment. Je fus projeté vers l’avant mais les branches me maintinrent dans la bonne position. Je vis la bouche me gober.
    
    Des lèvres de soies chaudes et douces se collèrent à moi, des dizaines de bouches se soudèrent à mon corps, pendant que les « lèvres maîtresses » me pompaient presque sauvagement. Je me voyais disparaître jusqu’à la garde, puis la langue agile roulait sur le tronc. Elle s’enroulait complètement autour du membre comme si elle me faisait un ...
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