L'arbre des délices
Datte: 08/03/2019,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fffh,
couple,
hotel,
boitenuit,
revede,
Oral
hgode,
attache,
délire,
fantastiqu,
Auteur: Balou, Source: Revebebe
... accaparé.
Sa main se posa sur ma hampe plus raide que de coutume. Voir ma bien-aimée ainsi m’excitait au plus au point. De l’autre côté du lit, Virginie se lova et entreprit de me sucer, pendant qu’Annie flattait mes bourses.
La bouche de Virginie m’avala jusqu’à la garde, complètement. Je remarquai qu’elle avait une gorge profonde, elle m’aspirait, me pompait, me tétait. Ensuite, très lentement, elle se retira, en laissant la langue chaude et rose glisser sur mon tronc. Elle titilla les énormes veines bleues qui couraient sous la fine peau du membre.
Je faillis éjaculer sur-le-champ, mais rapidement Virginie stoppa sa caresse. Ma hampe tressautait devant son visage. Une fine rigole du nectar annonciateur du plaisir s’écoula sur mon rose gland. Annie en profita pour dévorer ma bouche. Sa langue me fouilla. Ensuite elle remonta et me mordit le lobe de l’oreille. Du coin de l’œil je vis ma femme sucer une troisième verge pendant qu’elle en masturbait deux autres. Cinq cylindres de chair s’occupaient d’elle.
J’étais éberlué ! Ces sexes dressés étaient tous identiques ! Cinq sexes comme cela, c’était impossible ! C’était moi ! Ma verge circoncise qu’elle chérissait, là, devant moi !
Virginie replongea vers mon ventre. Je hurlai maintenant à mon tour en voyant la tournure que prenaient les évènements.
Les cinq hampes aux bourses imposantes se présentèrent devant Vanessa. Elles éjaculèrent sur elle.
J’éjaculai dans la bouche de Virginie en continuant de ...
... hurler.
Je vis ma femme aspergée d’un torrent de blanche lave. Elle ouvrit la bouche et recueillit plusieurs jets puissants. Les yeux clos, elle se laissa faire en riant. Elle cria « Balou, je t’aime ! » à tue-tête pendant de longs instants.
Les verges vidées de leur essence se rapprochèrent de la bouche de Vanessa. Elle les embrassa tendrement.
Annie et Virginie la rejoignirent. Elles chassèrent gentiment les « branches verges », avant de s’agenouiller devant leur prisonnière qu’elles léchèrent partout. Les deux femmes avaient entrepris de nettoyer complètement le corps de ma femme. La semence coulait de part et d’autre de son corps.
Vanessa me souriait. Son visage, son ventre, ruisselaient de sève. Virginie lui lécha les joues telle une petite chatte. Annie s’attaqua à la poitrine. Ma femme s’allongea, livrée aux deux bouches féminines. Elle geignait doucement. Comme par magie l’arbre se volatilisa.
Toujours ligoté au lit, écartelé, je les regardais faire.
Je ne compris pas immédiatement. Que se passait-il sous le lit ?
Soudain une fine branche s’enroula autour de ma cheville droite…
J’entendis de loin Annie crier :
— C’est ton tour, Balou !
Je craignais d’être écorché par cet envahissement de branchages, mais au contraire la texture était extrêmement douce et chaude, telle de la matière vivante, en fait comme un être vivant.
Au bout de quelques secondes, je vis devant moi plusieurs branches terminées par des bouches commencer à me sucer les ...