L'arbre des délices
Datte: 08/03/2019,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fffh,
couple,
hotel,
boitenuit,
revede,
Oral
hgode,
attache,
délire,
fantastiqu,
Auteur: Balou, Source: Revebebe
... ventre. Ses longs doigts déboutonnèrent lentement ma chemisette à carreaux. Je la regardais faire. Ces doigts aux ongles longs, tels ceux d’une panthère, couraient sur ma poitrine. Elle me griffait. Enfin elle jeta ma chemise à terre. Immédiatement, de sous l’oreiller, elle sortit deux paires de menottes. Elle m’attacha rapidement avec agilité les poignets à la tête du lit.
Surpris, je la laissai néanmoins faire. Vanessa avait un regard trouble, elle me souriait comme si elle allait me dévorer. « J’aime lorsqu’elle est ainsi », pensai-je.
— Je vais te bander les yeux, mais avant je vais te déshabiller complètement avec mes dents.
Je frémis.
Elle s’attaqua en premier à mes mocassins. Facile. Elle grimpa ensuite sur le lit, près de moi.
— Tu supportes ? questionna-t-elle.
— Oui, lui dis-je, les bras écartés.
Je désirais la serrer dans mes bras. Elle lut mes pensées.
— Plus tard, mon chou, là tu es mon esclave d’amour, beau brun !
D’une pichenette, elle déboutonna mon pantalon. Puis ses dents mordirent la toile. Elle tira le vêtement vers le bas, vers mes pieds. Allongée, elle ressemblait plus que jamais à une tigresse. Je bandais à l’extrême, mon boxer offrait une bien belle vue sans équivoque aucune.
Vanessa remonta vers mon ventre. Elle déposa un baiser sur le dôme de coton. Je haletais. Elle rapprocha mes cuisses nues. Ensuite elle refit la même opération qu’avec mon pantalon, mais beaucoup plus lentement. Elle tira enfin d’un coup sec.
Ma ...
... femme se redressa, tenant entre ses dents mon boxer.
— Tu es belle, je t’aime, haletai-je.
— La fête ne fait que commencer, tu vas hurler, tu me demanderas pitié, petit canaillou chéri !
Elle luisait, elle brillait, et moi je savais qu’elle m’entraînait dans un de nos jeux sexuels dont elle avait le secret. Je la vis humer mon sous-vêtement, le lécher amoureusement.
Vanessa était toujours habillée de sa légère robe d’été. Elle vint vers moi et me banda les yeux avec son carré Hermès.
Le noir total. Je tendis l’oreille.
Une main. La fraîcheur du métal. Elle m’attachait les chevilles aux pieds du lit à baldaquin.
J’écoutais le silence. Rien pendant d’interminables secondes. Le calme avant la tempête ? J’étais quasiment écartelé, ainsi attaché au lit.
Le matelas pencha, Vanessa devait grimper sur le lit à mes côtés. En effet, sa chaude peau se colla à moi.
— Tu la trouves exquise, notre chère Annie, n’est-ce pas ?
— Hein, que dis-tu ? répliquai-je.
Vanessa continua :
— Je t’ai observé toute à l’heure, tu la déshabillais des yeux. Je dois avouer que cette quinqua a un charme fou ; moi-même j’apprécie.
Elle se colla à moi. Je sentais sa langue remonter vers ma poitrine. Elle me mordillait les tétons, puis les suçait.
— J’aimerais qu’une femme boive à mon abricot d’amour, tu sais. Imagine que là avec nous, il y ait Annie. Chacune de nous te caresserait, nous te sucerions, et ensuite tu nous regarderais faire l’amour. Hein mon chéri, qu’en penses-tu ...