1. L'arbre des délices


    Datte: 08/03/2019, Catégories: fh, ff, ffh, fffh, couple, hotel, boitenuit, revede, Oral hgode, attache, délire, fantastiqu, Auteur: Balou, Source: Revebebe

    ... nouveau.
    
    — Détachez-moi, suppliai-je.
    — Tssst beau brun, Virginie va s’occuper de toi, tu verras mon chou, dit la voix.
    
    Virginie ? Quelle Virginie ? Elles étaient donc trois maintenant à user de moi !
    
    Soudain ma femme me chuchota à l’oreille :
    
    — Je vais boire Virginie, humm mon chéri, elle est si belle, tu devrais la voir. Sa généreuse poitrine attend aussi qu’on l’honore. Elle a de longs cheveux bruns, un petit nez en trompette, des seins à te faire hurler de joie.
    — Mais maintenant ça suffit, Vanessa ! hurlai-je. Détache-moi !
    — C’est ma surprise, mon chéri. Allez viens Annie, tu vas t’installer agenouillée devant le visage de mon mari. Il devra t’honorer avec sa bouche. Il adore ça, le coquin !
    
    Immédiatement, à ma droite et à ma gauche, se calèrent deux genoux. Le parfum marin m’envahit. La toison me chatouilla les narines. Je sentis que la femme se baissait légèrement vers ma bouche. J’étais comblé. De doux pétales se frottèrent contre mes lèvres. Ma langue les titilla. Encore un mouvement et le mont de Vénus se colla à ma bouche. Annie frottait son abricot d’amour contre mon nez. J’essayais tant bien que mal de faire pénétrer ma langue en elle. Je soupçonnais qu’elle me taquinait ainsi en s’esquivant à chacun de mes assauts buccaux. Je l’entendais rire.
    
    Sans que je m’y attende, elle me fourra en bouche sa ronde poitrine, dont je tétai allègrement les bouts dressés. J’aurais tant voulu voir, regarder, mais prisonnier de ces amazones, je me laissai ...
    ... entraîner vers le puits du Merveilleux aveuglé par ce satané foulard.
    
    Annie alternait ses offrandes. Je devenais dingue. Ma bouche buvait le nectar d’amour qui s’écoulait d’entre ses cuisses, ensuite je suçais tel un bébé sa volumineuse poitrine.
    
    La sueur perlait maintenant à mon front. J’entendais Vanessa gémir à son tour à côté de moi. Virginie devait lui rendre sa caresse buccale. Du moins étaient-ce là mes impressions.
    
    Un éblouissement !
    
    On m’arracha le foulard.
    
    Je clignai des yeux. La lumière blanche irradiait mes yeux. Je ne distinguai encore que des silhouettes.
    
    Un cri !
    
    Vanessa hurla !
    
    Enfin je la vis. Mon Dieu, je délirais. Elle était belle, ma femme, sous le bonheur qui la submergeait. Elle avait le visage crispé, les yeux clos. Sa respiration était saccadée, la veine de son cou palpitait, elle jouissait.
    
    Elle hurla plus fort encore en me fixant. Yeux dans les yeux, je lis son extase absolue.
    
    Je n’en croyais pas mes yeux. Ma femme était ligotée à un arbre. Cuisses écartées, elle subissait les assauts d’une branche. Enfin, une branche en forme de verge. Elle lui labourait le ventre pendant qu’une seconde la sodomisait. Les autres branches s’enroulaient autour de ses membres et la maintenaient ainsi écartelée, prise en sandwich.
    
    — C’est l’arbre des délices, me souffla une voix douce.
    
    Annie se tenait près de moi. Je ne l’avais pas remarquée, tant le spectacle de voir Vanessa jouir et crier sa joie, prisonnière de cette façon, m’avait ...
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