Jésus, Marie, Joseph ! (Les affres d'un calotin) - Histoires de Sexe

Jésus, Marie, Joseph ! (Les affres d'un calotin)

... G-M. d’une seule traite.

La simple évocation de ses désirs et les images qu’elles générèrent provoquèrent un début d’érection, instantanément aggravée quand il sentit la main du bon père affleurer ses attributs à travers la toile de son pantalon.

— Si vos envies s’arrêtent là ce n’est que péché véniel, « miellisa » Da Cédécé alors que ses doigts remontaient insidieusement le long d’un membre qui tendait de plus en plus l’étoffe.
— Malheureusement, Uraniste, mes envies ne se limitent pas à ses préludes.
— Ah bon ! Peut-être vaudrait-il mieux alors que je vous entende sous le sceau de la confession.
— C’est si grave ?
— Non, non mon fils. Mais seulement, tout ce qui se passera… pardon se dira, restera entre nous.

M-G posa son verre sur le gayridon et voulut se lever afin de s’agenouiller, mais le supérieur appuyant sa paume ouverte sur son sexe érigé le repoussa au fond du fauteuil.

— Point de formalité entre nous. Continuez, mon fils. Vous disiez que vos envies ne se limitaient pas à quelques attouchements.
— Non, Ura… mon père. Je l’imagine prendre mon sexe en bouche, me sucer. Je me vois, c’est à peine si j’ose le formuler, mettre mon sexe contre, dans son anus, Dieu me pardonne et le baiser, quel mot horrible,mea culpa, jusqu’à ce que ma sève se répande en lui ou encore pire… à peine si j’ose y penser.
— Osez mon fils.
— Que… Que je… déverse… mon jus… Mon Dieu, mon dieu… Je m’égare…
— Oui, votre jus, s’impatienta Da Cédécé.
— Dans sa bouche… qui coule ...

... de ses lèvres. Jésus, Marie, Joseph.
— Ne mêlez pas la Sainte Famille à ces affaires temporelles, mon fils.

Da Cédécé caressait maintenant sans aucune retenue le membre roidi. Enfermé dans sa culpabilité, G-M n’en avait pas encore pris conscience. Mais devant l’intensité de la caresse, il ne pouvait plus l’ignorer.

— Mais mon père, que faites…
— Comme vous, mon fils, je ne suis qu’un homme, astreint aux mêmes désirs. Voyez par vous-même, mon ami.

Da Cédécé désigna de la main la bosse qui déformait sa bure. Puis l’empoignant, il la retroussa dévoilant un priape au gland violacé se dressant au centre d’une touffe de poils grisonnants. G-M put constater qu’il bandait ferme et que son phallus n’avait rien à envier au sien.

— Comme vous, je suis un pécheur, mais je sais que mon Dieu me pardonnera ma faiblesse. Et c’est si bon de pécher, marmotta-t-il en s’emparant de la main gauche de G-M. et la portant sur sa verge.

Le religieux ne cachait plus son jeu. Il défit la ceinture, ouvrit la braguette et extirpa du slip un phallus en mode opérationnel. Aussitôt, il entama une lente masturbation. Abasourdi, notre notaire dont les doigts s’étaient instinctivement refermés sur le vit turgescent (le vit est turgescent comme la charlotte est à la fraise et la sardine à l’huile) se demandait ce qui lui arrivait. Il s’était réfugié dans ce monastère pour fuir ses démons, le démon et voilà qu’il se trouvait la bite à l’air et en érection face à un moine qui le branlait. Plus ...