1. Jésus, Marie, Joseph ! (Les affres d'un calotin)


    Datte: 07/03/2019, Catégories: fh, hh, hbi, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... hommes. Déjà, la belle s’était retournée en ayant pris soin de remonter la robe au-dessus de ses seins.
    
    — Merci mon ami. Je vais pouvoir me débrouiller toute seule.
    
    Il se replia vers la chambre poursuivi par une dernière réplique.
    
    — Lorsque vous serez couché, vous voudrez bien éteindre les lumières.
    — Telle était mon intention, ma mie.
    
    Il se déshabilla rapidement. Un moment de malaise ! Monsieur père s’était récrié quand il avait vu que Gabriel-Marie emportait son pyjama et il lui avait fait reposer. « Ta nuit de noces ! Mais à quoi penses-tu, mon fils ? » En sous-vêtements, il se glissa sous les draps. Il fit taire les appliques qui éclairaient la chambre. Quelques minutes plus tard, Marie-Gabrielle apparut brièvement dans l’encadrement de la porte avant qu’elle n’éteigne la salle de bain. L’avait-elle fait par provocation ou par négligence ? Par négligence sans doute, car sa chemise de nuit blanche ne dévoilait strictement rien de son anatomie.
    
    Elle se glissa furtivement dans le lit. Ils restèrent un long moment immobiles, chacun d’un côté du lit. Marie-Gabrielle devant l’inertie de celui qui était devenu son mari dut prendre l’initiative. Elle se tourna vers lui et d’une voix apeurée, lui dit :
    
    — Je suis fort marrie s’il vous a semblé que je vous rejetais, cher ami, mais comprenez que c’est la première fois que je me trouve seule dans une chambre avec un homme, fût-il mon époux.
    — Ne le soyez pas, ma chère, il en va de même pour moi.
    
    Se rendant ...
    ... compte de ce que sa remarque pouvait avoir d’équivoque, il ajouta précipitamment :
    
    — Enfin, je veux dire que c’est la première fois que je me retrouve dans la même chambre qu’une femme.
    — Cependant nous devons…
    — Oui, j’en ai conscience. Cela ne vous indisposera pas si je vous touche ?
    — Mais non, mon ami. Faites.
    
    Il se tourna à son tour vers son épouse et la prit maladroitement dans ses bras. Ils s’embrassèrent mollement sans réelle passion. Ils eurent beau y mettre la langue et tout leur cœur, aucune des excitations annoncées par leurs proches ne se manifesta. Le pénis de G-M resta inexorablement flasque tandis que la vulve de M-G resta tout aussi inexorablement sèche. D’autres, devant un tel manque d’enthousiasme, auraient renoncé, mais l’un comme l’autre avait un rang à tenir et un profond sens du devoir.
    
    Ils persévérèrent et mirent en pratique ce qu’ils avaient lu dans les livres. Prenant son courage à deux mains et, de la droite, la verge endormie de son époux à travers le slip kangourou, M.G. entama une masturbation qui malgré sa maladresse se révéla efficace. Le membre de son époux durcit et prit à sa grande surprise des proportions inquiétantes.
    
    Pour ne pas se montrer moins audacieux, G-M remonta la chemise de nuit de son épouse et porta sa main entre les cuisses. À sa grande surprise, elle rencontra un mont poilu. En prévision de ce qui allait se passer, l’impudente avait ôté sa culotte. Reproduisant sur le modèle féminin, la caresse de M.G. il lui caressa ...
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