Jésus, Marie, Joseph ! (Les affres d'un calotin)
Datte: 07/03/2019,
Catégories:
fh,
hh,
hbi,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... le minou. Avec toute la délicatesse possible, il glissa un doigt dans sa vulve jusqu’à ce qu’il touche l’hymen. Prouvant la bonne composition de sa moitié, les parois s’humidifièrent progressivement.
Arriva l’instant ou M-G prit la direction des opérations. Elle retroussa sa chemise de nuit sur ses hanches, se mit sur le dos, ouvrit les jambes.
— Je crois que c’est le moment, mon ami.
En bon petit soldat, G-M la couvrit. Une petite main féminine guida son pénis à l’entrée de la vulve. Il poussa aussi doucement qu’il put écoutant la moindre manifestation de souffrance de Marie-Gabrielle.
Celle-ci finit par s’impatienter, attrapa G-M. par les fesses et l’attira violemment à elle. Elle poussa un cri de douleur. G-M se figea.
— Vous ai-je fait mal ma doulce ?
— Un petit peu. Mais agitez-vous, qu’on en finisse.
Discipliné, G-M s’exécuta. Il « s’agita » au-dessus de sa moitié comme elle le lui avait demandé et finit par arriver à ses fins. Il ne s’attarda pas en elle et se remit sur le dos. M-G se leva immédiatement pour aller faire sa toilette intime. En quittant le lit, elle eut cette phrase d’une grande puissance romantique :
— Voilà, c’est fait, mon ami. Nous allons enfin pouvoir dormir et profiter de notre nuit de noces.
Leur vie de couple s’organisa des plus agréablement. Ils partageaient une communauté d’esprit qui les faisait paraître comme un couple à montrer en exemple. Marie-Gabrielle se révéla féconde. Trois enfants furent conçus sans passion, ...
... mais sans difficulté. Ils remplissaient leurs devoirs conjugaux régulièrement, sans aucune variante notable. Avec le temps, ils oubliaient parfois d’éteindre la lumière et ils s’étaient libérés de leurs contraintes vestimentaires. Se montrer nu l’un à l’autre ne leur posait plus de problème. Il leur arrivait même parfois d’éprouver un plaisir coupable qu’ils se sentaient obligés d’évoquer en confession.
Les années s’écoulèrent, les enfants grandirent et l’espace entre leurs rapports matrimoniaux aussi : d’hebdomadaires, ils devinrent bi puis mensuel. Les trois dernières années, ils étaient devenus inexistants. Parfois, après un repas bien arrosé, échauffés par l’alcool, ils s’abandonnaient à une rapide fornication qu’ils regrettaient ensuite. Leur vie de couple semblait toujours harmonieuse. Entre son travail, l’éducation des enfants, leur implication dans les œuvres de la paroisse, Gabriel-Marie, dans ce bonheur tranquille, ne voyait pas les jours s’écouler.
Tout allait donc pour le mieux dans le meilleur des mondes et le serait resté si un de leurs enfants avait accepté de prendre sa succession. Les deux filles, Marie-Ange et Marie-Cécile se destinaient la première à la médecine humanitaire et la seconde, à l’enseignement. Quant au fils prénommé Auguste-Marie en l’honneur de son grand-père, il se faisait appeler Nicolas Chancrecreux, supprimant la particule au grand dam de ses parents et avait opté pour le métier de plombier où, Gabriel-Marie devait le reconnaître, il ...