Jésus, Marie, Joseph ! (Les affres d'un calotin)
Datte: 07/03/2019,
Catégories:
fh,
hh,
hbi,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... Ce cri signifiait qu’elle souffrait. G-M se hâta. Parvenu à quelques mètres de la chambre, de nouveau la voix de sa moitié retentit. Plus de cris, mais des petits gémissements suivis de mots incongrus :
— Oui, je le sens bien, ton gros goupillon ! Oui ! Oui ! Secoue-le bien ! Viens ! Viens ! Sanctifie ma chatte avec ton eau bénite ! Viens au plus profond de ma chapelle, je veux entendre tes burettes tinter contre mes grosses fesses de salope.
Ce dernier mot stoppa net G-M. dans son avancée. S’il avait eu un doute sur ce qui se passait dans la chambre conjugale, la dernière réplique de M-G. le chassait au grand galop. Son épouse devant Dieu qui, pendant toutes ces années n’avait jamais ouvert la bouche pendant leurs étreintes obligées, chantait comme une catin et pas en latin. Il allait la… Non ce serait injuste et G-M. n’était pas ce genre d’homme. Lui, le pédéraste avait fauté avec le bon père, il n’allait pas accabler la mère de ses enfants. D’autre part si M-G. avait un amant, cela l’arrangeait. Le plus sage était qu’il s’en aille puis téléphone pour annoncer son arrivée. Il fit demi-tour, mais une curiosité malsaine le titillait : il voulait savoir qui avait réussi à éveiller les sens de sa femme, mais aussi… voir sa si digne épouse en action.
Précautionneusement, il revint vers la chambre. Sûrs de leur tranquillité, les amants n’avaient même pas songé à fermer complètement la porte. Par l’entrebâillement, P-G. pu voir son épouse les jambes en l’air recevoir les ...
... hommages d’un galant qui s’affairait au-dessus d’elle. M-G. gémissait maintenant sans discontinuer en lançant frénétiquement ses hanches à la rencontre du phallus de son amant. Amant dont il voyait juste les fesses. Et quelles fesses ! Soudain, il réalisa, ces fesses, sans les avoir vues, il les connaissait, il en avait tellement rêvé. Elles appartenaient à Malthus. « Tu n’as pas vu qu’il est pd comme un phoque. » Bravo, Marie-Ange, quel discernement ! Ils l’avaient bien envoyé au couvent pour se débarrasser de son encombrante présence et forniquer tout leur saoul.
Une flambée de colère et de désespoir le transperça. C’en était trop. Il serra les poings, ferma les yeux. Il pénétrait dans la chambre, se débarrassait de ses oripeaux. Nu, sexe bandant, il avançait vers le lit, s’agenouillait derrière le couple en train de copuler, de ses mains, il écartait les globes jumeaux, pointait son goupillon contre l’anus entrouvert. Une grande poussée et il le sodomisait de son glaive flamboyant. Lâchant les fesses, il agrippait les hanches, pilonnant ce diabolique postérieur au rythme où Malthus pilonnait Marie-Gabrielle. L’extase, il baisait sa femme par procuration.
Le sperme gicla sur sa main. Il ouvrit les yeux. Horrifié, il s’aperçut qu’il avait plongé la main dans son pantalon et s’était masturbé comme un damné. Il releva les yeux. Le couple avait changé de position : M-G. chevauchait allègrement son partenaire. Avec son éjaculation, toute excitation, toute curiosité, toute ...