Confessions d'une esclave sexuelle (3) - Histoires de Sexe

Confessions d'une esclave sexuelle (3)

... lâchais timidement un : “1”. Le 2e coup de fouet, de la même intensité, claquait sur ma 2e fesse. Le 3e repartait sur la première fesse qui avait été tapée. Il semblait alterner à chaque coup, ce qui laissait quelques secondes de répit au muscle endolori. Le 4e, puis le 5e...Il était de plus en plus difficile de tenir la position contre le mur, mais je me devais de tenir pour ne pas être fouettée davantage. Il passait les lanières du fouet sur mon cou, puis les fit descendre très lentement le long de mon dos jusqu’à mes fesses. Un immense frisson parcourut l’ensemble de mon corps. Je sentais que je mouillais terriblement. Malgré la douleur, l’excitation était au summum. Il répétait ce geste plusieurs fois quand, sans que je puisse m’y attendre, le 6e coup partit encore plus violemment que les autres. Par réflexe, je hurlais et me redressais immédiatement.

“- Non, non, non...Qu’est-ce que je t’avais dit, espèce d’idiote ? Si tu ne tiens pas la position, tu auras des coups de fouet en plus. Après tout, c’est peut-être ce que tu recherches. Félicitation, tu en as donc gagné deux de plus !

— Non s’il te plaît ! Je m’excuse, je ne voulais pas bouger, c’était un mauvais réflexe. Ne me frappe pas plus, s’il te plaît.

— Tu contestes mes décisions ?? Cela fait plus d’une heure que nous avons commencé et j’ai l’impression que tu n’as toujours pas compris qui commande et qui obéit dans cette pièce ! Alors tu vas fermer ta petite gueule de pute et pour la peine ce n’est pas 2 ...

... coups supplémentaires que tu auras, mais 4 ! Et que je ne t’entende plus, c’est clair ???

— Oui.......C’est clair... »

Ma réponse était suivie d’un coup de fouet bien sec dans mon dos. Celui-là aussi, je ne l’avais pas vu venir. Le fait d’être dans le noir et de ne pas voir les coups arriver augmentait la sensation de peur et de plaisir. Les coups reprenaient sur mes fesses. Il ne pouvait guère y aller plus fort, je pense. Je sentais ma peau rougir et devenir chaude comme de la braise. Vers le 9e ou le 10e coup, il s’arrêtait et venait se coller derrière moi, glissant sa main sur ma chatte. Il me fit la remarque que j’étais la plus grosse des salopes qu’il n’a jamais rencontrées, car j’étais trempée malgré la douleur. Je prenais cela comme un honneur pour quelqu’un qui avait visiblement beaucoup d’expériences dans le domaine. Il recommençait à stimuler mon clito, puis à rentrer ses doigts. Il ne me fallait pas plus de 2 minutes pour gicler à nouveau et sentir toute la cyprine couler le long de ma chatte et mes jambes. “Reprends ta position, on va en finir avec le fouet, mais fais attention de ne pas glisser; tu as trempé tout le parquet”.

Effectivement, je sentais sous mes pieds des flaques d’eau...Le dernier coup de fouet retentissait comme une délivrance. Il m’attrapait par les seins et m’aidait à me redresser, la douleur dans mon dos compte tenu de la position étant assez vive. “Tu as mérité une petite pause”.

Il me faisait m’asseoir sur le matelas, mais mes ...