Confessions d'une esclave sexuelle (3) - Histoires de Sexe

Confessions d'une esclave sexuelle (3)

Suite à mon message, je rencontrais Mat pour la 1re fois une dizaine de jours après, nos emplois du temps ne nous permettant pas de nous voir plus tôt. Durant ces jours-là, nous avions continué à échanger par message. Je ne pensais plus qu’à cela, je me touchais tous les soirs, même certains jours au travail !

Je me rendais chez Mat un samedi après-midi. Je devais lui envoyer un message lorsque je serai dans son hall d’entrée. Etrange, car il y avait un interphone, je n’avais qu’à sonner chez lui...Cependant, quelque chose m’interpellait : le temps qu’il reçoive le message et qu’il m’ouvre, je jetais un coup d’œil au nom sur les boîtes aux lettres. Personne n’avait un prénom qui commençait par “Mat”...Soudain, une voix sortait de l’interphone : “8e étage à droite en sortant de l’ascenseur”. Le temps d’attente entre l’appel de l’ascenseur et qu’il monte les 8 étages me paraissait interminable. 1000 questions traversaient mon esprit : qu’est-ce que j’étais en train de faire ?! Qui était cet homme qui ne m’a même pas donné son vrai prénom ? Et si c’était un piège, si c’était un malade mental ? Si plusieurs hommes m’attendaient à l’intérieur pour m’agresser, me violer et me dépouiller ? J’étais paniquée, j’avais envie de sortir de cet ascenseur et partir en courant ! Et pourtant...Mon cœur battait à la chamade et il était clairement pris entre deux tourments : la peur et une excitation extrême...De toute façon, il était désormais trop tard. L’ascenseur arrivait au 8e étage ...

... et les portes s’ouvraient. Sur la droite, “Mat” était déjà là, la porte de son appartement ouverte.

Il ne m’avait pas menti. La description physique qu’il avait faite de lui était fidèle. Il était bel homme et je sentais déjà une attirance sexuelle pour lui. Il m’invitait à m’asseoir sur son canapé et me proposait à boire. Il avait de tout : jus d’orange, grenadine, bière, vin, vodka, etc. Stressée, un bon verre de vin n’allait pas me faire de mal. Il me servait donc un verre de rouge de Côte du Rhône. Il prenait la même chose que moi et nous trinquons à notre rencontre. Très vite, je buvais une gorgée. Ce vin était très bon. Mat marquait déjà des points. Il aurait pu me servir une vieille piquette ou ne même pas penser à me laisser la possibilité de tant de choix. Il était assez bavard. Il me parlait un peu de tout et de rien, mais la discussion était fluide et intéressante. Au bout d’une bonne quinzaine de minutes, sentant que le feeling se passait bien, il me demandait si j’étais prête à répondre à son questionnaire. Je lui faisais un petit sourire et lui dit "OK".

Les premières questions étaient plutôt banales : qu’est-ce que tu aimes faire à un homme, qu’est-ce que tu aimes qu’un homme te fasse, pratiques-tu la sodomie ? etc. Ensuite, il m’a posé des questions sur la pipe : est-ce que tu fais des gorges profondes, est-ce que tu avales, est-ce que tu acceptes les éjac faciales. Il semblait déçu lorsque je lui disais que je ne faisais pas de sodomie, que je n’avalais ...