Confessions d'une esclave sexuelle (3) - Histoires de Sexe

Confessions d'une esclave sexuelle (3)

... clitoris. Son doigt tournait lentement dessus puis il accélérait au fur et à mesure le mouvement. Ensuite, deux doigts s’inséraient dans ma chatte. Il faisait des cercles à l’intérieur, je sentais une bouffée de chaleur, jusque-là encore inconnue, envahir chaque centimètre carré de mon corps. Ses doigts prenaient ensuite la forme de crochet. Il faisait ces petits gestes de crochet juste à l’entrée de mon vagin. Quelques secondes suffisaient : je lâchais un énorme jet dans une jouissance et des cris terribles ! Cela ne m’était jamais arrivé, jamais je n’ai connu une sensation pareille. J’avais l’impression de m’être pissée dessus, mais je savais que ce n’était pas cela. Je tremblais de tout mon corps, tout émoustillée par ce qui venait de se produire. Il recommençait dans la foulée les mêmes gestes et il ne me fallut pas plus de 2 minutes pour gicler à nouveau. “Ouvre ta bouche !” m’ordonna-t-il. Sa main fit couler dans ma bouche ma cyprine et il se l’essuya sur mon visage. “T’es vraiment une bonne pute, je suis fier de toi ! Lève-toi maintenant.”

C’est avec les jambes toutes tremblantes que je parvenais à me relever tant bien que mal. Il me prenait par les cheveux et me guidait jusqu’à un mur. Là, il me demandait de poser mes avant-bras contre le mur et de me cambrer, tout en gardant les jambes bien tendues et écartées de manière à ce que je puisse lui offrir mon cul. Il effleurait très rapidement ma chatte, ce qui me faisait tressaillir immédiatement. Elle était ...

... devenue extrêmement sensible depuis mes deux éjaculations et toujours aussi trempée. J’attendis ainsi quelques secondes lorsque je recevais, sans me prévenir, un coup de fouet sur ma fesse droite. Un cri de douleur s’échappait de ma bouche. “Tu n’as quand même pas cru que tu allais prendre uniquement du plaisir ? Tu es aussi venue là pour souffrir, n’est-ce pas ?” me demanda-t-il. Question à laquelle je répondais par l’affirmative.

Il a enchaîné ensuite quelques coups de fouet puis repris la parole :

“- ceci était un échauffement, je voulais habituer tes fesses à la sensation du fouet. Maintenant, tu vas compter à haute voix, de manière claire et audible, chaque coup de fouet que je vais te mettre. Nous allons jusqu’à 10. J’espère que tu sais compter jusqu’à 10 ?

— Oui, je sais compter jusqu’à 10

— Si j’estime que tu ne parles pas suffisamment fort et/ou que tu ne tiens pas la position, tu auras le droit à des coups supplémentaires. As-tu bien compris ? me demanda-t-il.

— Oui, répondais-je.

10 coups de fouet, cela me paraissait beaucoup tant ceux reçus précédemment me brûlaient déjà les fesses. Cependant, je me dis que j’étais aussi là pour faire de nouvelles expériences. Cela ne me dérangeait donc pas de souffrir d’autant plus pour cet homme qui m’avait déjà fait grimper au rideau comme un autre n’avait jamais réussi auparavant.

Bim, le premier coup de fouet tomba. Le coup était bien plus fort que ceux donnés avant pendant “l’échauffement”. Difficilement, je ...