Confessions d'une esclave sexuelle (3)
Datte: 01/03/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: Bison noir, Source: Xstory
... pas et que je ne faisais pas d’éjaculation faciale. Face à cette déception, je lui dis qu’il pouvait tout de même se finir dans ma bouche, mais que je recracherai. Il me souriait et semblait content de cette précision. Il allait de toute façon devoir s’en contenter.
Les questions suivantes furent plus spécialisées sur la domination : est-ce qu’il pouvait me tirer les cheveux (oui), m’insulter (oui), me mettre des fessées (oui), me fouetter (à essayer), me cracher dessus (non, mais ça ne va pas ?!), me gifler (non !), etc. Je ne me souviens plus de toutes les questions posées, mais je commençais vraiment à devenir très excitée (je finissais mon 2e verre de rouge et en prenais un 3e). Je n’ai pu boire qu’une ou deux gorgées de ce verre. Il me l’enlevait des mains et me demandait de me mettre debout. Le “jeu” commençait !
Il m’ordonnait de manière franche et stricte de me déshabiller. Je m’exécutais immédiatement. Je commençais par enlever mon haut en gardant mon soutien-gorge. Mat ouvrait la ceinture de son jean et le déboutonnait. Sa main se glissait à l’intérieur, ce qui lui permettait de toucher sa bite. Je le regardais avec un œil bien aguicheur et je voyais sa bite gonfler au fur et à mesure à l’intérieur de son boxer et son jean. Je crevais d’envie de me mettre à genoux pour l’aider à la sortir et la faire respirer, mais je lui devais obéissance et il ne m’avait pas demandé de faire cela. Je continuais donc mon petit show, ouvrant à mon tour mon jean pour le ...
... faire tomber tout doucement jusqu’à mes chevilles. Une fois enlevé, je tournais le dos à Mat afin de lui montrer mes fesses toutes découvertes grâce à mon string. Après une légère petite danse qui me permettait de me dandiner des fesses, je désagrafais mon soutien-gorge, le laissant tomber à mes pieds. Lorsque je me retournais, Mat avait sorti complètement sa bite. Il bandait comme un taureau ! Je lui faisais de l’effet au petit jeune, et cela m’excitait totalement.
Je finissais par enlever le petit bout de tissu qui me servait de string. Cela y est, j’étais debout et nue face à lui, seuls quelques centimètres nous séparaient. Sa main effleurait à peine ma chatte que des frissons me parcouraient tout le corps. Il se levait et me demandait de me tourner. Je ne sais d’où il a sorti cela, mais un masque noir venait se poser sur mes yeux. J’étais désormais plongée dans l’obscurité la plus totale. Il prenait ensuite mes mains, les mettait dans mon dos et me passait les menottes. Il agrippait mes cheveux et me glissait à l’oreille : “Suis-moi, petite salope”. Sa poigne forte dans mes cheveux me guidait dans la pénombre absolue. Je ne savais absolument pas où j’allais et ce qui allait m’arriver. Le stress mêlé à l’excitation revenait de plus belle, j’ai cru que mon cœur allait exploser. Il me faisait rentrer dans une pièce et me demandait de me mettre à genoux. Je comprenais que j’étais sur un matelas posé à même le sol. Il me positionnait en levrette, la face droite de mon visage ...