La Femme à l'Ombrelle
Datte: 01/03/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
fplusag,
inconnu,
uniforme,
piscine,
amour,
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
historique,
aventure,
Auteur: Margeride, Source: Revebebe
... ceinture, vêtues seulement de pantalons bouffants à la mode mauresque et de lourds bijoux. Elles tiennent dans leurs bras des récipients emplis d’eau pure et de parfums capiteux. De leurs mains fines elles font glisser la robe de Marguerite et versent sur elle les précieux liquides qui coulent sur la peau claire, presque blanche de la reine. Les seins de Marguerite sont minuscules, sans les mamelons, étonnamment longs, on dirait le torse d’un éphèbe. La toison de son sexe est presque transparente. Son corps est harmonieux mais d’une beauté qui met mal à l’aise.La reine s’allonge sur le sol couvert de peaux de bêtes et les deux femmes, de leurs doigts enduits d’onguents, massent lentement le corps alangui. Elles s’attardent sur les fesses rondes et fermes de Marguerite. Sous leurs caresses, la reine semble prendre vie, son corps paraît plus chaud, même sa poitrine semble prendre forme. Les yeux de Marguerite, ordinairement dénués d’expression, brillent de mille feux, son souffle se fait court, presque rauque. Les femmes se sont retirées, silencieuses, laissant la reine entièrement nue, les cheveux dénoués, allongée, offerte.Les servantes reviennent, guidant un homme aux yeux bandés. Elles lui ôtent ses habits. Le pourpoint, les chausses. À son tour, elles le lavent, le parfument, le massent et lui entravent les mains. Tour à tour, elles prennent son sexe gonflé dans leur bouche et le gardent ainsi, sans bouger, faisant monter, avec la frustration, son excitation. Elles ...
... frottent leurs seins lourds sur ses jambes, sur son torse.Elles l’aident à s’allonger à côté de Marguerite dont il sent la présence. Il voudrait la toucher, la voir mais ses mains entravées l’en empêchent. Il regretterait presque d’avoir accepté cette étrange règle : ne pas voir la Dame dont il allait jouir. Mais la suivante qui lui a proposé cet étrange marché était si belle et son désir est tel qu’il ne songe plus à rien.La reine explore le corps jeune et musclé dont elle va tirer son plaisir. Ses mains, sa bouche, son corps entier épousent les courbes, s’imprègnent de son odeur virile. L’homme sent la douceur de cette peau fine et parfumée sur la sienne, sa verge est tendue à lui faire mal. Et puis c’est une sensation exquise, une bouche chaude qui l’engloutit en un mouvement profond. Au moment où il va exploser, la caresse s’interrompt. Il sent qu’il s’enfonce dans un fourreau étroit, coulant de miel. L’inconnue va d’avant en arrière, s’empalant sur lui. Dès qu’elle sent qu’il va prendre son plaisir, la reine reste immobile, le temps qu’il parvienne à se maîtriser. Emplie par ce sexe vigoureux, elle sent la volupté monter au fond de son ventre. Son mouvement s’accélère, elle est prise d’un spasme qui entraîne avec elle son amant d’un soir. Il se répand dans la reine.Marguerite frissonne encore, son corps se contracte comme s’il n’était qu’un prolongement de son sexe. Et puis elle s’apaise et ses yeux se vident, son visage retrouve son aspect de masque funèbre, son corps paraît ...