54.2 Les envies de Jérém (deuxième du nom).
Datte: 28/02/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... la nuit de samedi à dimanche, et à ses souvenirs douloureux. Soudainement, la blessure de son « dégage ! » se fait ressentir plus vive que jamais.
Me voilà déchiré entre ma délirante envie de retrouver sa queue raide dans ma bouche et cette douleur persistante qui m’éloignerait définitivement de lui ; quand je le regarde, j’ai envie de le sucer ; quand je repense à son « dégage ! », j’ai envie de le frapper. C’est dur de ressentir des sensations aussi contrastantes vis-à-vis d’un seul et même garçon.
Mais lorsque je réalise qu’il est bien là, demi allongé sur mon lit, la queue prête à bondir de son boxer ; alors, le sucer devient une évidence.
Une demi seconde plus tard, je me libère de mon t-shirt et je me glisse à genoux entre ses cuisses musclées ; d’un geste plein d’urgence, mes deux mains s’activent d’un côté et de l’autre de son bassin, attrapent son boxer, le font glisser le long de ses hanches ; son bassin se relève sans attendre.
Inspiré par tant de coopération, mes gestes se font précis, déterminés : très vite, le short et le boxer glissent le long de ses jambes, de ses chevilles, ses pieds se lèvent, je le débarrasse de ces vêtements devenus inutiles.
J’ai terriblement envie de revenir illico à sa queue tendue, de m’en occuper comme il se doit, de ressentir le frisson inouï de tenir son plaisir de mec dans ma bouche ; mais mon élan premier est freiné par un autre frisson, inattendu celui-ci, le frisson que j’ai ressenti en lui enlevant ses ...
... chaussettes.
Une envie insoupçonnée se manifeste en moi ; je regarde ce pied avec les orteils en dégradé régulier ; sur le haut, entre les orteils et la cheville, une légère pilosité aimante mon regard, titille mon odorat.
Je ressens une excitation inattendue à l’idée de sentir le corps de mon mâle baiseur à des endroits où mon nez ne s’est jamais encore aventuré.
Alors, je me laisse aller. Au point où je suis, je n’ai plus rien à perdre. Il est venu pour baiser, autant que je m’abandonne moi aussi à mes envies.
J’attrape son pied gauche, je le relève, je plie mon buste, je le plonge mon nez dans l’espace entre le gros orteil et le suivant ; et j’inspire, longuement, profondément.
Instantanément je reconnais l’odeur de sa peau, de son gel douche, mélangé à quelque chose d’un peu plus fort, une odeur de « chaud », comme de transpiration qui aurait comme « mijoté » dans l’espace clos de ses baskets. Ça sent les humeurs intenses et bien odorantes de jeune mâle.
Je ressens une chaleur inattendue monter à mon visage, ça m’enivre ; je passe mon nez dans chaque entre-doigts, impatient, fébrile ; j’ai vraiment envie d’aspirer chaque petite odeur.
J’attrape l’autre pied, je renifle chaque recoin de ce nouveau petit clavier d’orteils harmonieux.
Puis, une deuxième envie se manifeste, aussi violente et intense que la première.
Oui, j’ai envie de passer ma langue là où mon nez s’est tant plu. J’effleure d’abord du bout de la langue, je guette sa première réaction ; elle ...