1. Week-end en camping avec ma meilleure amie et son mec


    Datte: 26/02/2019, Catégories: fhh, grossexe, hépilé, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, coprolalie, Partouze / Groupe totalsexe, Gay fsodoh, Auteur: Paradishommes, Source: Revebebe

    ... tout mon corps. J’étais tendu et offert. Je ne pouvais pas dire que je la pénétrais, mais plutôt qu’elle se défonçait la chatte en retombant de toute sa hargne sur mon pieu.
    
    Après cette brève mais intense chevauchée fantastique, elle se retira et me demanda gentiment de me mettre à quatre pattes. Moi, gentil garçon et ne souhaitant pas la froisser, je me retrouvai dans la position qu’elle désirait, en attente de nouvelles instructions.
    
    — Pas mal, ce petit cul, mon beau. Cambre-toi bien, creuse tes reins qu’on admire ta belle petite raie.
    
    Chaud comme j’étais, je ne pouvais que m’exécuter. J’observai Marc discrètement : le salaud qui s’était mis à l’écart était de nouveau en forme ; faut dire qu’il trichait un peu en s’astiquant allègrement. Plus je regardais son sexe, plus je me cambrais ; j’avais hâte de connaître la suite des réjouissances.
    
    — Écarte tes fesses avec tes deux mains, me susurra Armelle. Écarte-les bien, chéri, tu vas aimer…
    
    J’étais hyper chaud. Le cul ouvert et tendu, j’admirais cette queue qui allait sûrement me prendre. Quand et comment, cela restait encore une surprise.
    
    — Tiens, me dit Armelle, pousse un peu, tu vas aimer.
    
    Il faut toujours pousser un peu avant la pénétration pour offrir son derrière. Je poussai donc sans connaître la nature de ma sodomie. Instantanément, ma chère copine m’encula profondément ; j’étais rempli totalement. Mon anus s’était ouvert très vite pour ce refermer aussitôt, faisant prisonnier soit un gode, soit un ...
    ... plug.
    
    — Salope… me murmura Armelle. T’as tout pris dans ton petit cul ! Tu le sens bien ?
    
    Joignant le geste à la parole, ma voisine préférée me défonça le trou en me pilonnant gracieusement le fondement.
    
    — Écarte bien tes cuisses, mon bébé ; reste comme ça, à quatre pattes, et regarde.
    
    Je n’osais bouger. J’attendais les bons vouloirs de mon enculeuse. Elle se dirigea vers Marc qui se tenait sur les coudes, les jambes écartées, à quelques centimètres devant moi. Cette salope vint s’asseoir sur le mât de son chéri, elle aussi face à moi, cuisses grandes ouvertes. J’étais aux premières loges pour admirer cette bite, qui à présent lui pilonnait la chatte.
    
    — Regarde, petit pédé, comme il me baise ; imagine sa bite qui te fourre comme ça, hum… Vas-y, bouge ton cul que tu sentes bien comment t’es rempli en imaginant son pieu dans ton cul. Approche ta langue, petit pédé… Voilà, c’est bien ; lèche bien ma chatte, goûte ma mouille, passe ta langue sur cette belle tige qui coulisse, lèche notre jus, ma petite salope de pédale.
    
    Plus les insultes fusaient, plus j’étais excité. Ma langue passait de son clito ruisselant de plaisir à la queue tendue de son amant. Je buvais encore et encore cette mouille gluante aux parfums âcres et salés, d’odeur de pisse et de jus de femelle.
    
    — Putain, je vais décharger ! hurla Marc.
    
    Pendant que ma langue parcourait sa bite, il pilonnait sa chérie ; je sentais grossir sa grosse veine sous sa tige. Le salaud donnait de puissants coups ...
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