Week-end en camping avec ma meilleure amie et son mec
Datte: 26/02/2019,
Catégories:
fhh,
grossexe,
hépilé,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
coprolalie,
Partouze / Groupe
totalsexe,
Gay
fsodoh,
Auteur: Paradishommes, Source: Revebebe
... Doucement ma chérie, me susurra Marc, n’aie crainte : je vais tout te donner. Vas-y, pompe-moi bien… Une vraie petite reine, ma salope ! Crache dessus, mouille-moi bien la tige.
Je crachais et recrachais sur son membre qui coulissait déjà pas mal au fond de ma gorge, mais ce salaud m’avait tellement chauffé que j’obéissais à tous ses désirs. Tirant bien sur la peau de sa tige, je décalottais au maximum son gros gland violacé et je crachais dessus à n’en plus pouvoir. Ma salive glissait partout. Le salaud était monté comme un âne ; j’avais bien du mal à en faire le tour avec ma main. Même ma bouche paraissait ridicule devant ce baobab. Marc donnait de violents coups de reins, me forçant à engouffrer cette bite comme je pouvais. À chaque de boutoir, il me semblait l’avaler davantage. Mon autre main n’était pas en reste, j’attrapai ses couilles qui me paraissaient bien lourdes, laissant présager une grande quantité de foutre.
Armelle s’était approchée de nous et poussait sur les fesses de mon amant pour l’encourager encore plus à me baiser la bouche. J’étais aux anges.
— Je vais jouir, cria Marc. Ouvre ta bouche, salope, ouvre ! Tiens, prends…
J’ouvris la bouche à m’en décrocher la mâchoire ; des flots de foutre tiède et âcre me coulaient de partout ; plus j’avalais, plus Marc jouissait. L’enfoiré me régalait ! Il repoussa mon visage et, la bite à la main, il me retapissa le visage en se vidant saccade après saccade. J’avais raison : l’enfoiré m’avait réservé tout ...
... le contenu de ses couilles. Armelle me sauta littéralement dessus pour nettoyer de sa langue le foutre de son chéri.
— Encore, lui criait-elle, vide-toi ! Et toi, mon petit pédé, presse bien ses couilles pour les vider, écrase-lui bien fort. Vas-y, plus fort ! Je te dis qu’il aime ça.
Cette salope attrapa ma main et la serra si fort sur les couilles de Marc qu’il hurla sa douleur en se cambrant davantage.
— Plus fort ! me cria-t-elle ; je sais qu’il aime ça. Vas-y, écrase-lui les couilles !
Marc se cambrait sous la douleur ; nos mains essoraient ses boules. Le salaud devait être maso, car plus nous maltraitions sa queue, plus elle pointait vers le ciel. Ma copine me roula une pelle d’enfer afin de goûter cette semence à la source même, me badigeonnant la figure des dernières giclées de cette queue énorme.
— Alors, elle n’est pas bonne, la bite de mon chéri ?
Pour toute réponse, je roulai sur le dos, régalé par toute cette semence, la queue fièrement dressée vers le ciel étoilé.
— Et toi ? Qui va s’occuper de toi, mon cœur, de ton petit cul ? De ta bite ? Tu permets que je joue avec ?
Sans crier gare, Armelle se mit à califourchon sur moi et s’empala totalement sur mon pieu. Pour un homo, je dois dire que la surprise était de taille ! Cette salope me chevauchait sans aucune retenue. Ses mains pétrissaient les pointes de mes seins à me faire hurler de douleur, mais aussi de plaisir, car l’effet de la maltraitance de cette petite pute se répercutait dans ...