1. Week-end en camping avec ma meilleure amie et son mec


    Datte: 26/02/2019, Catégories: fhh, grossexe, hépilé, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, coprolalie, Partouze / Groupe totalsexe, Gay fsodoh, Auteur: Paradishommes, Source: Revebebe

    ... prêt ; merci, Armelle. Lentement, le soleil se couchait. Debout nus devant le feu, Marc et moi, tels des ombres chinoises, exhibions fièrement nos sexes tendus. C’est l’instant magique que choisit Armelle pour prendre son portable afin d’immortaliser ce spectacle en nous photographiant de profil, tels deux satyres impudiques.
    
    — Mes salauds, dit-elle, quelle photo bandante !
    — Quelle perverse tu fais ! répliqua son chéri. Tu vas encore te faire mouiller le minou avec cette photo.
    — Et alors, t’aimes pas une chatte toute mouillée ?
    — J’adore…
    
    Avant que la pénombre n’envahisse vraiment notre campement, Marc installa autour du feu des plaids pour nous trois. Nous étions pour ainsi dire prêts pour notre première soirée en pleine nature. Notre repas froid fut vite englouti, la vaisselle rincée dans la rivière, et chacun avait eu droit à un café bien chaud ; encore merci, Armelle, pour l’intendance. Nous étions tous les trois allongés autour du feu qui crépitait, et c’est encore Armelle qui attaqua doucement :
    
    — N’empêche, les mecs, vous m’avez sérieusement chauffée tout à l’heure. À ma droite j’avais la queue toujours à l’équerre de mon chéri, et à ma gauche la bite sur laquelle je fantasme depuis des lustres, celle de mon meilleur ami qui est gay.
    
    La coquine nous allumait lentement mais sûrement. L’ombre des flammes dansait sur nos corps, telles des ombres chinoises. Marc allongé sur le flanc regardait sa chérie, flattant doucement son sexe à moitié endormi. Moi, ...
    ... bien sûr, je le matais comme un pervers. Allongé sur le ventre, je pouvais fantasmer sur un éventuel rapprochement. Rien qu’en y pensant, ma queue tendue à mort était prise en étau entre ma couverture et mon ventre ; j’ondulais discrètement du bassin comme si je voulais perforer le sol. C’est à ce moment-là qu’avec Armelle nos regards se croisèrent. La garce avait vu clair dans mon déhanchement, et pendant que je m’excitais sur le ventre, la salope se touchait sans retenue, les cuisses largement ouvertes face à nous. Sa fente luisait de cyprine, et avec son pouce et son index elle se titillait le clitoris.
    
    — Vas-y, Paul, mon petit pédé adoré ; continue, frotte bien ta bite sur le plaid. Tes fesses se contractent à chaque fois, ça m’excite. Montre-moi comme tu l’as fait grossir. Regarde, chéri, comme il se touche, notre petit pédé… Tu vois, il bande pour toi, mon ange, pour ta grosse queue. Montre-lui comme tu es excité, comme t’as envie de lui, comme tu vas bientôt lui faire goûter. Hum, les mecs, j’ai trop envie de vos queues…
    
    À ces mots, Marc se leva, la bite à la main, fit le tour du feu et se mit à genoux devant moi sans cesser de s’astiquer.
    
    — C’est vrai ? me dit-il, tu bandes pour ma queue ? Tu la veux ? Ouvre bien ta bouche, ma chérie, et fais-moi une gorge profonde. Tu veux ?
    
    J’avais ma bouche ouverte, et ma langue happait déjà son gland. Je me mis sur le flanc, dévoilant mon érection, et de ma main j’attrapai ses couilles pour l’attirer vers moi.
    
    — ...
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