1. Week-end en camping avec ma meilleure amie et son mec


    Datte: 26/02/2019, Catégories: fhh, grossexe, hépilé, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, coprolalie, Partouze / Groupe totalsexe, Gay fsodoh, Auteur: Paradishommes, Source: Revebebe

    Ah, mes souvenirs de camping… Début juin, en descendant ma poubelle, je croise dans les escaliers ma voisine Armelle, ma meilleure amie.
    
    — Salut Paul, comment vas-tu ?
    — Bien, un peu chaud mais bien. Avec un soleil comme aujourd’hui, l’été promet d’être agréable.
    
    Armelle se serra dans mes bras pour échanger notre bisou matinal. Dans le miroir du palier, je contemplais nos silhouettes n’en faisant qu’une ; nos corps lovés l’un contre l’autre en tenue hyper légère renvoyaient une image plus que sexy. Même si les filles ne m’attiraient pas, voir son corps si frêle de profil avait un côté très bandant pour un homo. Hissée sur la pointe des pieds elle m’embrassait, ses deux bras autour de mon cou ; j’admirais la cambrure de son cul qui, par la petitesse de son shorty, dévoilait la naissance de ses fesses. Même son débardeur laissait entrevoir le galbe de ses seins qui pointaient dur à travers le tissu.
    
    — Ma petite voisine préférée, t’es quand même bandante…
    — Arrête de m’allumer, t’aimes pas les filles.
    — Mais t’es quand même bandante, ma chérie.
    — Toi, me dit-elle, un jour je vais te violer !
    
    Et pour l’exciter d’avantage, j’ajoutai :
    
    — Alors, faudra m’attacher.
    — Mais j’y compte bien.
    
    Et pour m’allumer à son tour, elle plaqua ses mains sur mes fesses pour frotter son pubis contre mon sexe. Armelle savait que je ne portais jamais de sous-vêtements. Sans aucune pudeur, elle plaça sa main sur ma queue à travers mon jeans en tentant de déclencher une érection. ...
    ... Nos relations, bien que virtuellement sexuelles, étaient toujours très crues, mélangeant dialogues outranciers remplis de promesses salaces et des gestes – voire des caresses provocantes – sans toutefois aboutir réellement.
    
    — Tu vois, j’arrive à te faire bander un peu quand je te touche, non ? Avec un peu d’entraînement, je suis sûre que je pourrais te faire jouir avec une bonne branlette quotidienne. C’est quand même du gâchis ; un beau gosse comme toi… Je suis sûre qu’en insistant…
    
    Et d’ajouter dans le creux de mon oreille :
    
    — Et si je te suçais, t’aimerais pas ? Je donnerais cher pour me faire prendre par un si bel étalon.
    — Arrête, tu vas finir par arriver à tes fins, et je te rappelle que ton mec est aussi mon pote. Alors…
    — Alors, alors… Te formalise pas, je suis sûre qu’il ne serait pas jaloux, avec toi.
    — T’as toujours le mot de la fin. Allez, lâche ma queue, tu commences à me faire bander, salope.
    — Hum ! Je sais que ça te plaît. J’aime quand tu me parles avec amour.
    — Quelle chienne tu fais ! Il a du boulot, Marc, avec une gonzesse comme toi ; il ne doit pas souvent débander : tu dois l’épuiser, le vider.
    — Eh oui… Le cul, le cul, le cul, y’a que ça de vrai.
    — Dis donc, je change de sujet : vous allez au pub samedi soir ?
    — Non, Marc a un pote qui nous autorise à camper sur son terrain. Quand je dis « terrain », c’est dix hectares de forêt avec rivière et lacs, et nous partons demain après-midi. Mais tiens, si tu veux… viens avec nous, ça peut être ...
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