1. Week-end en camping avec ma meilleure amie et son mec


    Datte: 26/02/2019, Catégories: fhh, grossexe, hépilé, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, coprolalie, Partouze / Groupe totalsexe, Gay fsodoh, Auteur: Paradishommes, Source: Revebebe

    ... avec un corps d’athlète grec. Tu m’étonnes que ma copine l’avait choisi, elle qui aimait les grosses queues ! De ce côté-là, l’animal avait de quoi régaler plus d’une gourmande. Et cette queue m’excitait terriblement, me déclenchant un début d’érection.
    
    — Allez les mecs, à l’eau !
    
    C’est cul-nu et la bite à l’air qu’Armelle put admirer nos plongeons. L’eau devait être à 22 ou 25 degrés, vu la journée ensoleillée que nous avions eue. Nous barbotions tranquillement comme des canards allongés sur le ventre dans 30 centimètres d’eau. Mon sexe touchait parfois le sable à demi terreux du fond. Sensation très agréable pour mon prépuce.
    
    — Dis donc, Paul, c’est la queue de mon mec qui te fait bander comme ça ?
    — T’es ouf ! Je bande pas comme ça, par un claquement de doigts.
    — Dis donc, je t’ai vu le mater quand vous vous êtes mis à poil. Si, je suis sûre que t’as la gaule. Pas cap de te mettre debout.
    
    La salope, elle me tenait : elle voulait vraiment m’exhiber devant mon mec. Je pensais que l’eau avait quelque peu refréné ma vigueur, mais bon, sans en être certain.
    
    — Moi aussi j’ai la gaule, ajouta Marc.
    — Oui, mais toi, répliqua Armelle, t’as toujours la gaule.
    — Allez, debout mon bel homo !
    
    Ce que je fis en lui faisant face. Ma queue, sans être à son apogée, trahissait mon désir. Je ne pouvais dissimuler mon trouble devant ce beau mâle, et Armelle savourait cet instant.
    
    — Ah, tu vois ? La queue de mon chéri te fait fantasmer, et tu bandes.
    — Mais non : ...
    ... quand je bande, j’ai la bite droite comme un i.
    
    Puis, s’adressant à Marc :
    
    — Regarde, chéri, tu ne te le ferais pas ? Il a la gaule, non ? Retourne toi, Paul, montre-lui ta belle bite de bel homo.
    
    J’étais là, debout dans l’eau, et ma meilleure amie me demandait de me retourner vers son chéri pour qu’il mate ma queue et constate si je bandais ou pas. Je lui fis donc face. Mais avant que je me retourne, Marc était sorti de l’eau et je ne pus que constater que non seulement il bandait comme un cerf, mais que le salaud se caressait la tige devant moi. Évidemment là, dès que je lui fis face, je lui présentai ma plus belle érection.
    
    — La vache ! jura Armelle qui n’avait rien perdu de la scène, on va bien s’éclater ce soir. Je ne sais pas qui va prendre, mais moi je dis « prem’s ! »
    
    C’est par une franche rigolade que nous sortîmes de l’eau sans se soucier qui bandait pour qui. Nous étions jeunes, beaux, heureux et à poil, et surtout avec une forte envie de baiser. Qui ? Ça, nous improviserions. Mais sûr, nous baiserions. Toujours à poil et sans pudeur – pourquoi se rhabiller ? – un feu de camp fut vite allumé. Pendant la mise en place du repas, nos corps se frôlaient sans vraiment se toucher. Marc, la queue toujours dressée, passait devant ou derrière moi, m’effleurant sensiblement l’épiderme. Armelle, qui s’occupait des derniers préparatifs, nous mettait à chaque occasion la main au paquet, maintenant notre érection en pleine forme. Le repas du soir était pour ainsi dire ...
«1...345...8»